Apprendrela révérence à son cheval ! Voila, j'ai commencer à apprendre la révérence à mon cheval et j'aimerais que vous me disiez comment VOUS vous faites et si vous trouvez que ma méthode peut ne pas aller super bien pour dans le futur quand je vais lui demmender sans le toucher.. Alors, moi, je lui met sa laisse vu que la longe c'est trop long, je Ily a plusieurs ''versions'' de révérance possible. La révérence est également appelé ''salut de la reine''. Durant cette manoeuvre le cheval doit avoir un antérieur bien tendu, et droit, et l'autre antérieur doit avoir le genou au sol. C'est l'un des tours les plus facils a apprendre a son cheval, mais biensur cela ne veut pas dire que cela sera vite, car vous savez avec les chevaux Placetoi face a sa tête, légèrement en arrière de l'épaule du cheval et prend lui le pied. Avec ta main présente lui une carotte, entre ses antérieur, sous le poitrail et attire lui la tête vers l'arrière. plus il va reculer la tête pour prendre la carotte et plus il va reporter son poids sur les postérieur. En reculant légèrement ses Bonjourà tous, voici ma première vidéo de tuto pour apprendre la révérence a votre cheval, et bien sûr ce tuto commence par Les conneries de Granada :D Marquesde sport et concepteur de lancer une série commune, est certainement pas une chose surprenante. Là, devant Jeremy Scott x Originals adidas, après il J.W.Anderson x Converse, la marque des designers invités à un mouvement transfrontalier, la raison la plus importante, on estime que veulent être fondement trop original de chaussures, mettre un peu l'art de pointe. 1 Tenez le cheval en main, en licou, avec une badine dans la main. Préparez-le en passant votre main sur ses antérieurs et en lui demandant de lever le pied comme pour le curer. 2) Habituez-le à garder la tête basse, en lui donnant par exemple une petite brassée de foin pendant que vous touchez ses antérieurs. xSdMkox. Aujourd'hui celle du 2 mars 1965. Avec cet ultime texte, nous en terminons avec la reprise de 44 chroniques d’Alexandre Vialatte, extraites des quelque 900 que La Montagne avait publié entre le 9 décembre 1952 et le 25 avril 1971. En guise de feu d’artifice final, nous achevons ce voyage dans l’univers vialattien par cette phrase qui n’appelle aucun commentaire L’homme peut vivre pied nu. Il ne saurait vivre sans rêve ». • Vie de Tolstoï • Tolstoï déguisé en hanneton • Lutte à mains plates avec les centenaires du Caucase • Fécondité • Christianisme de la bicyclette • Transports d’armoire par un octogénaire • La vérité est-elle au fond d’une botte ? • Le salut par le mocassin • Cordonnier pensif et barbu • Bon sens du même • Et le laquais en gants blancs • Peu importe à quoi l’enfant joue » • Pensée de Malherbe • Utilité du songe • Nécessité du superflu • Le chien lui-même ne peut vivre sans rêve • Preuve par l’expérience scientifique • Grandeur consécutive d’Allah. Il faut lire la vie de Tolstoï * que vient d’écrire Henri Troyat. On y trouvera les choses les plus extraordinaires. Par exemple comment Tolstoï se déguisait en hanneton. Ou en chèvre ; pour ses petits-fils. Comment il luttait à mains plates avec les géants du Caucase. Et gagnait, sauf avec un seul ! Comment ce père de treize enfants peut-être plus prêchait l’abstention dans le mariage Je suis encore enceinte, écrivait sa pauvre femme, du champion de la stérilité ». Comment il découvrit sur le tard il ressemblait alors aux sept Nains de Blanche-Neige, la bicyclette et le cinématographe ; sans compter le piano mécanique. Il devait être arrière-grand-père. La bicyclette l’enthousiasma. Il ne la crut pas, malgré Tchertkov, contraire à l’idéal chrétien » ?, se persuada de l’utilité de ses efforts en lisant les Lettres savantes sur le jeu du vélocipède considéré comme exercice physique » écrites par M. Popov, et, révérence parlée, s’en fourra jusque-là. Sauf en présence des savants étrangers !. À peine revenu d’une attaque, il commençait par trois heures de tennis, abattait quarante verstes à cheval et regrettait en se débottant de n’avoir pas sous la main sa fameuse bicyclette pour se dégourdir un peu le mollet. Il ne rêvait que de quitter le toit conjugal pour aller courir sur les routes, en pèlerin, mêlé aux moujiks, et de mener la vie ascétique des clochards. En plein hiver. Comme il avait quatre-vingts ans, il voulut essayer ses forces. Il sauta donc sur une armoire et se la renversa sur le dos ; elle faillit l’écraser. Il résista pourtant et la porta comme un sac tyrolien. Il en conclut qu’il était bon pour le service. Avec raison. Étendu sur le dos, il soulevait un homme de quatre-vingts kilos. Entre autres menues occupations dans la journée, il fauchait trois heures d’affilée. Les paysans qui venaient aux ordres le trouvaient pendu par une jambe à une barre fixe d’appartement. Il distribuait ainsi le travail, la tête en bas. Les moujiks repartaient songeurs, le cerveau plein d’idées confuses. Ils trouvaient que leur barine était inattendu. Recevez par mail notre newsletter loisirs et retrouvez les idées de sorties et d'activités dans votre région. Mais sa plus belle idée fut de faire des souliers. Il passa la moitié de sa vie à poisser du ligneul et fabriquer des bottes. La vérité était dans la chaussure, le salut dans la cordonnerie. Parce qu’il pensait que, même comte, un homme doit être utile ce qui est, bien sûr, un excellent principe, et utile de ses mains, ce qui n’est pas prouvé, car si un parfait cordonnier vaut mieux qu’un mauvais romancier, un romancier de qualité mondiale est plus utile qu’un mauvais cordonnier. Mais il tenait à son idée, battait la semelle et faisait des cadeaux de bottes. Qui, en général, n’allaient pas. Il en offrit à Soukhotine, qui les mit dans sa bibliothèque à la suite des douze premiers tomes de l’ouvre de Léon Tolstoï avec l’étiquette Tome XIII ». On ne saurait être plus objectif. D’autant plus que Tolstoï n’était vraiment pas doué. Aussi faisait-il venir, à Moscou, un cordonnier pensif, modeste », armé d’une immense barbe noire, pour lui donner des leçons de semelle et lui apprendre à battre les quartiers. Le cordonnier arrivait à heure fixe. Un laquais lui ouvrait la porte, ganté de blanc et en livrée. Le cordonnier rejoignait le comte à l’atelier, la tête rentrée dans les épaules, en marchant sur la pointe des pieds et en jetant des regards obliques ». Le comte, assis sur un tabouret, suait devant son pied de fer pour planter des chevilles. Le cordonnier, qui était plein de bon sens, lui disait Laissez-moi faire ça. » Mais Léon Nicolaïévitch, sourd à tout autre appel que celui de la cordonnerie et de la vérité par la botte, s’entêtait à planter ses clous. J’ai l’impression, écrivait-il en conséquence, d’être le seul homme sensé dans une maison de fous. » Et sa femme. Je m’attriste que de telles forces se dépensent à coudre des bottes. C’est peut-être parfait comme détente, non comme occupation en soi. Je me tranquillise en me disant “Peu importe à quoi l’enfant joue à condition qu’il ne pleure pas.” » Cette aventure prouve que chacun doit faire la chose qu’il connaît le mieux. Manuel ou intellectuel, le travail est également digne. Tout dépend de l’esprit dans lequel il est fait, et je suis assez scandalisé par les Chinois qui expédient par punition les étudiants du moins le dit-on dans des équipes de travail manuel quand ils sont soupçonnés de théories subversives. En quoi est-il plus humiliant de bêcher un champ que d’apprendre la formule de l’acide sulfurique ? Il y a une grande hypocrisie ou une grande inconséquence à proclamer que la société doit être gouvernée par l’ouvrier et à considérer qu’il est humiliant de l’être ! Passons. Tolstoï ne songeait pas au plus ou moins de dignité du travail, mais à l’utilité de la tâche. Il cherchait à être plus utile, à remplir un devoir de solidarité, à ne pas recevoir sans rendre. Il ne visait pas à l’humilité mais à l’amour. Il pensait rendre mieux service en cousant des souliers qu’en faisant des romans, en fournissant les hommes de bottes plutôt que de rêves. Et Malherbe, bien avant lui, disait déjà qu’un bon poète n’est pas plus utile à l’État que ne peut l’être un bon joueur de quilles. Laissons l’État, disons les hommes ». Mais, outre que Tolstoï faisait de bons romans et fabriquait de mauvais souliers, le principe même est discutable. L’homme se passe bien moins facilement de ses songes que de ses chaussures. Il a besoin de rêve autant que de pain. On sait l’histoire de la petite pauvresse à laquelle une grande dame offrit tout ce qu’elle voudrait ». La petite choisit la bague précieuse que la dame portait à son doigt ; et qui ne lui servirait à rien l’histoire se passait au désert elle ne pourrait jamais la revendre. Et non une robe ; et non du pain ou des gâteaux. Du songe, à l’état pur, du rêve, du rien, de l’idée. Le superflu est indispensable. Une femme qui a passé sa journée à frotter des planchers et laver des carreaux a besoin qu’on lui raconte les amours des princesses, les divorces des stars, les diamants du shah de Perse, le buste de Lollobrigida. À l’écrivain, s’il a un peu de conscience, de choisir le songe qu’il lui vendra. De toute façon, il lui en faut un. On a fait l’expérience avec des animaux. L’électroencépha­logramme permet de détecter à coup sûr le moment où commence leur rêve. On les éveille à ce moment-là. Non pas une fois, mais toutes les fois. En un mot on les prive de songes. En leur laissant leur ration de sommeil. Au bout de peu de temps, l’animal crève. On a essayé sur des hommes. On s’est arrêté juste à temps. C’est une expérience scientifique. Elle démontre qu’il est plus utile d’avoir écrit Les Misérables, ou Guerre et Paix, ou Anna Karénine, ou le théâtre de Shakespeare, que d’avoir fourni à un comptable d’un certain âge une paire d’escarpins trop étroits. L’homme peut vivre pied nu. Le gitan en est la preuve, le petit Savoyard et l’ours des Pyrénées ; sans compter le singe à queue prenante et le contribuable de l’année. Il ne saurait vivre sans rêve. Et c’est ainsi qu’Allah est grand * Tolstoi, par Henri Troyat aux Éditions Fayard. Alexandre Vialatte. Né en 1901 à Magnac Laval Haute-Vienne, il fut traducteur de Kafka puis romancier auteur notamment de Battling-le-Ténébreux en 1928, Fidèle berger en 1942 et Les fruits du Congo en 1950. Il est surtout connu pour ses chroniques. Toutes se terminaient invariablement par cette phrase, signature de son humour absurde et décalé "Et c'est ainsi qu'Allah est grand". Voici des extraits du calendrier de politesse de 2012. Le titre est Savoir-vivre et bonnes manières, une question par jour pour découvrir les règles et usages en France et à l’étranger. C’est paru Editions 365 en 2011. L’auteur est Laurent Loiseau. Le 18 septembre Le raffinement du protocole La reine d’Angleterre Victoria prit un jour son carrosse, accompagnée d’un chef d’Etat en visite officielle en Grande-Bretagne. Dans Londres, alors que l’équipage remontait le Mall, l’un des chevaux lâcha un bruit aussi sonore qu’incongru que tout le monde entendit dans la voiture. La reine, très embarrassée, s’excusa auprès de son hôte. Que croyez-vous donc que celui-ci répondit ? Réponse Le plus naturellement du monde, le chef d’Etat s’adresse à la souveraine de ce si grand empire et lui dit, avec une élégance mêlée d’une ponte d’impertinence Ne vous en faites pas, madame. Mais si votre Majesté n’avait rien dit, j’eusse pensé que c’était le cheval ! ». » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 25 septembre Dans les maisons bourgeoises, quelle fut longtemps la coutume la plus répandue concernant la domesticité ? Changer le nom des serviteurs Marier la bonne au jardinier Les loger dans une maisonnette Réponse A changer le nom des serviteurs Certaines pratiques courantes de l’âge d’or de la politesse tomberaient aujourd’hui sous le coup de la loi. Ainsi, il était courant que l’on annonce leur prénom aux nouveaux domestiques. Bonne, cuisinière, femme de chambre, chauffeur ou jardinier étaient ainsi affublés de prénoms tels que Léontine, Clémentine, Marie, Firmin ou Baptiste afin qu’ils ne puissent se confondre avec le nom de l’invité. La raison la plus souvent invoquée pour justifier cette pratique était, pour les propriétaires, d’avoir à éviter de retenir un nouveau prénom à chaque changement de personnel… » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette 16 novembre Un petit tour et puis s’en vont… La révérence a totalement disparu de l’éducation française depuis la fin des années 1950. Pourtant, son apprentissage est toujours d’actualité chez les jeunes filles de la bonne société, qu’elles soient belges, néerlandaises ou britanniques. Savez-vous pourquoi ? Parce que la politesse est plus importante dans ces pays qu’ailleurs. Parce que la royauté fait partie de leur identité nationale Parce qu’elles sont susceptibles de rencontrer un jour le souverain de leur pays Réponse C parce qu’elles sont susceptibles de rencontrer un jour le souverain de leur pays. Au passage de la reine Elisabeth II d’Angleterre, de la reine Béatrix des Pays-Bas ou du roi Albert II de Belgique, nombre de jeunes filles savent parfaitement se contorsionner avec grâce comme on le faisait jadis. Leur révérence est le signe de leur attachement à la monarchie constitutionnelle de leur pays. On leur apprend donc la petite référence, où la jeune fille fléchit légèrement les genoux tandis que ses bras restant ballants, et la grande référence, au cours de laquelle la jeune fille ou la dame fait un geste ample en forme de cœur avant de relever les pans de sa robe lorsqu’elle accentue le fléchissement de ses genoux jusqu’à s’accroupir. Le saviez-vous ? Jusqu’en 1968, on apprenait aux jeunes files de la haute société française à pratiquer les gestes de révérence. » Le 11 juillet Tchin-tchin ! Le mot trinquer » vient de l’allemand trinken, qui veut dire boire ». Aujourd’hui, on ne trinque qu’avec un verre d’alcool en main de la bière, du vin, du cidre ou de la vodka, par exemple. La coutume viendra-t-elle à s’éteindre un jour ? Toujours est-il que depuis les années 1970, l’influence anglo-saxonne tend à remplacer celle-ci par le toast, ce lever de verre à l’américaine. Quant aux pays musulmans, ils trinquent le plus souvent en buvant le thé ou le café. On aime colporter l’histoire de ce capitaine d’industrie qui, après avoir signé un important contrat en Chine, honore ses hôtes d’un toast d’adieu. Après avoir sabré le champagne, celui-ci lance à la cantonade le tchin-tchin ! » traditionnel. Le responsable de la délégation chinoise, après quelques secondes d’hésitation, lève son verre à on tour en lançant un non moins tonitruant France-France ! ». » Note personnel aujourd’hui, il est parfaitement possible de trinquer avec un verre d’eau ou un verre de jus de fruit. Vous en saurez plus ici. Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 26 décembre Qui a dit — Ce soir, je ne suis pas le Premier ministre et vous n’êtes pas le président de la République, nous sommes deux candidats… Vous me permettrez donc de vous appeler monsieur Mitterrand. — Mais vous avez tout à fait raison… monsieur le Premier ministre. » ? Valéry Giscard d’Estaing Michel Rocard Philippe Séguin Laurent Fabius Jacques Chirac Réponse E Jacques Chirac Avant le deuxième tour de l’élection présidentielle de 1988, les deux candidats, Jacques Chirac et François Mitterrand, débattent sur Antenne 2. On assiste alors à un grand moment de raffinement dans l’art de la perfidie oratoire. Le savoir-vivre est respecté, mais les réparties sont d’une cinglante cruauté comme l’illustre cet échange entre les deux hommes. Le débat, qui fait date, prouve que la politesse extrême n’atténue pas la violence des propos. » Le 30 décembre Carte de vœux… une affaire d’artiste Dans quel pays est née la coutume de s’adresser des cartes de vœux ? En France En Angleterre En Espagne Réponse B En Angleterre C’est au milieu du XIXe siècle, vers 1843, que le fondateur du Victoria and Albert Museum de Londres, un certain Henry Cole, proche du prince Albert, l’époux de la reine Victoria, eut l’idée de créer des cartes de vœux, à l’occasion de la nouvelle année. Il confia au peintre John Culcott Horsley le soin de lui dessiner un petit carton tiré à mille exemplaires. Quatre cents cartes furent réservées à Cole et si cents destinées à être vendues au prix d’un shilling. La carte de vœux était née. » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 7 mars Arsène Lupin et les cartes de visites cornées Il existe une coutume étrange qui consiste à donner une carte de visite dont on a auparavant plié le coin supérieur. D’où provient cette singulière pratique et dans quelle circonstance est-on susceptible de recevoir la mystérieuse carte cornée ? Il s’agit d’une manière de se faire connaître pour les francs-maçons. La carte pliée est le signe d’un passage en ville ». Un coin corné, c’est un cœur qui se déclare. Réponse B la carte pliée est le signe d’un passage en ville ». Une carte au coin pliée est un code indiquant que celui à qui elle appartient est venu lui-même la déposer au domicile de son destinataire. Souvenez-vous du héros de Maurice Leblanc, Arsène Lupin ne pliait-il pas le coin de la carte de visite qu’il laissait toujours sur le lieu de ses méfaits ? Il n’était pas rare, à l’époque où le téléphone n’existait pas, de se rendre chez quelqu’un pour y déposer une lettre ou demander audience. En cas d’absence, on laissait la carte pliée. Une autre coutume consistait à faire déposer par un domestique une carte, non cornée cette fois, en y faisant figurer des mentions abrégées qui nous paraissent aujourd’hui bien mystérieuses » signifiait pour prendre congé », », pour prendre nouvelles » et, en guise de première déclaration, » voulait dire pour faire connaissance ». Seule réminiscence contemporaine de cette époque où la lenteur pimentait encore les rapports humains, la modeste mention » que l’on peut apposer à la place du timbre sur une enveloppe que l’on dépose En Ville », c’est-à-dire en personne. » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 30 mai La diplomatie des petits pas Rien ne vaut un cadeau pour renforcer l’amitié entre les peuples, sauf s’il est choisi par des fonctionnaires qui ne connaissent rien à la culture du pays qui reçoit. Dans ce cas, la cérémonie de l’échange des présents peut tourner au vinaigre… En 1989, on frôla l’incident diplomatique à l’occasion de la visite officielle en Chine du président Georges Bush. Tout avait pourtant bien commencé ce dernier reçut du Premier ministre chinois Li Peng une splendide bicyclette, en souvenir des promenades à vélo que l’ancien ambassadeur des Etats-Unis à Pékin affectionnait. Puis, ce fut au tour de Georges Bush de présenter le cadeau du peuple américain au plus grand pays d’Asie une magnifique paire de bottes de cow-boy. Ravi, le premier ministre chinois les accepta avec plaisir, mais faillit s’étrangler lorsqu’il découvrit les semelles sur lesquelles le drapeau chinois était gravé. Les personnes quelque peu informées savent pourtant qu’en Asie la semelle des chaussures est considérée comme la partie du corps la plus vile et la plus impure. De toute évidence, les Etats-Unis venaient d’écraser sous leurs bottes l’Empire du Milieu… » Le 7 août Peut-on faire attendre sa dulcinée en risquant quelques minutes de retard ? C’est indispensable pour se faire désirer. Pas question l’exactitude est la politesse des rois Seulement au premier rendez-vous pour voir si la demoiselle est patiente. Réponse B Pas question l’exactitude est la politesse des rois Quel que soit le pays ou le milieu, tout retard à un rendez-vous galant sera interprété, à raison, comme le signe d’une grossièreté intolérable, surtout si ce retard est le fait de la gent masculine. Il est donc à proscrire absolument, surtout s’il s’agit de fomenter un plan machiavélique pour vérifier l’impatience de l’intéressée ou tout simplement pour se faire désirer. Un rendez-vous galant n’a rien d’un jeu de stratégie. C’est une démonstration de finesse et de gentillesse. En revanche, vingt minutes de retard sont toujours tolérables en ce qui concerne le beau sexe… à condition que la jeune femme prie son compagnon de bien vouloir l’excuser. Le saviez-vous ? L’écrivain Montherlant raconte, dans Les Jeunes Filles, comment le personnage principal comptabilise le retard de ses rendez-vous et prend la décision de les quitter au bout d’un temps équivalent à ces minutes de retard accumulées ! » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 15 août De la délicatesse dans un monde de brutes Dans la rue, chez des amis, dans une réception, où que vous vous trouviez, votre comportement est passé à la loupe par ceux qui vous entourent. Sachez que les gens du monde ont la capacité de faire trois choses en même temps parler pour ne rien dire, regarder autour d’eux pour repérer une incongruité qui pourra faire l’objet d’un commentaire a posteriori et écouter les commentaires désobligeants déformés et amplifiés. Gare aux attitudes déplacées. Pour échapper au pilori, imitez les gazelles plutôt que les éléphants. Lorsque vous marchez, ne claquez pas les talons. Apprenez à ouvrir et à fermer délicatement les portes. Ne faites pas craquer vos doigts. Riez, pouffez, gloussez, mais ne barrissez pas. Bref, soyez aérien dans votre comportement. Le saviez-vous ? La prestance date de l’année 1530 ! C’est Erasme qui, le premier, fit passer l’idée que l’honnête homme était d’abord quelqu’un qui contrôlait parfaitement son corps. Silencieux, pudique, le corps redressé en permanence, le costume parfaitement ajusté, l’homme, par une présentation et une attitude irréprochables, sort de la lascivité, de l’imbécillité et de la sournoiserie. Avec Erasme, la civilité n’est plus un art de feindre, mais devient une attitude naturelle et saine, dont on peut être fier. » Le 21 août Trésor de la politesse Lors de sa venue à Londres, à la fin du XIXe siècle, un dignitaire indien fut invité à table par la reine Victoria, qui n’avait rien d’un boute-en-train. Elle eut un éclair de génie qui surprit son assistance et fit traverser les âges à cette anecdote. Lors du premier souper, des crustacés furent servis. Une coupelle en argent avec de l’eau et une rondelle de citron était disposée à la gauche des convives, afin que chacun puisse se rincer les doigts après avoir touché aux fruits de mer. Notre plénipotentiaire indien, qui n’avait pas été informé de ce protocole culinaire, but d’un trait l’eau citronnée. S’apercevant de la méprise, la reine eut la présence d’esprit et la délicatesse d’en faire de même, sans attendre, ce qui sauva l’honneur du diplomate. Par sa générosité et son sens de l’à-propos, la reine Victoria sauvait ainsi son invité indien d’une humiliation publique, s’il s’était aperçu que l’un des convives utilisait la boisson comme eau de rinçage. En emboîtant le pas sur-le-champ à la méprise de son invité, la souveraine portait le savoir-vivre au pinacle elle agissait avec à-propos, comme doit le faire une maîtresse de maison, en donnant à tous les convives le signal de la règle à respecter ne pas mettre ses doigts dans le rince-doigts, éventuellement le boire. Un cas d’école en matière d’étiquette. » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 11 décembre Dans quel pays a-t-on l’obligation de s’adresse à ses voisins de table ? En France Aux Etats-Unis En Italie Réponse B aux Etats-Unis Il y a des règles de savoir-vivre plutôt contraignantes ! Aux Etats-Unis, la politesse enjoint les convives d’un dîner à se parler mutuellement. La règle est si stricte qu’elle a déjà donné lieu à des scènes cocasses que la chronique mondaine et la littérature ont relatées. Ainsi, il est déjà arrivé que certaines personnes, mal embouchées ou exaspérées par leur voisin de table, se penchent vers eux pour leur réciter la table de multiplication ! Et ce, sans qu’il soit possible de s’en offusquer, tant les scandales sont proscrits par la politesse puritaine. » [et_pb_section admin_label= »section »][et_pb_row admin_label= »row »][et_pb_column type= »4_4″][et_pb_text admin_label= »Texte » background_layout= »light » text_orientation= »left » text_font_size= »14″ use_border_color= »off » border_color= »ffffff » border_style= »solid »] Retour d’expérience sur deux jours de stage de dressage et d’art équestre, auxquels j’ai participé, à raison d’un jour en novembre et un jour en décembre. Le stage se déroule à Fleurines dans le 60. C’est tout près de Senlis et très facile d’accès par l’autoroute A1. Arrivée chez Fiona et James qui nous accueillent avec du café dans leur petite écurie, au milieu de leurs magnifiques chevaux espagnols. Le matin c’est travail à pied et l’après-midi travail à cheval. Chaque personne suit un cours particulier puis regarde les autres travailler. Il y a deux groupes l’un avec Fiona et l’autre avec James. La particularité de ces stages c’est que l’on travaille avec leurs propres chevaux de spectacle. Ce qui est quand même une sacré responsabilité car n’étant pas des pros, nos demandes sont plus que brouillonnent…. L’avantage de travailler avec des chevaux si fins, c’est qu’ils répondent au doigt et à l’oeil, ou plutôt aux codes vocaux qu’il faut déjà réussir à faire ! Positionnement, rythme, cadence, demandes vocales, tout doit être parfait pour obtenir le meilleur geste. Et Fiona et James nous apprennent à ne pas se contenter de peu mais à avoir un mouvement parfait, sans contrainte et le plus long possible. En effet, en spectacle, il faudra que les chevaux s’exécutent quelquefois en liberté et que les positions soient tenues ! Pas question que la révérence ne soit pas tenue, le temps des applaudissements par exemple 🙂 Cela nécessite un peu de pratique mais dès la seconde séance, je suis beaucoup plus à l’aise ! Voici un échantillon de ce que nous montrent Fiona et James [/et_pb_text][et_pb_video admin_label= »Vidéo » src= » »] [/et_pb_video][et_pb_text admin_label= »Texte » background_layout= »light » text_orientation= »left » text_font_size= »14″ use_border_color= »off » border_color= »ffffff » border_style= »solid »] Après il n’y a plus qu’à… Ma première impression est…qu’il faut que j’oublie ce que je sais…Moi qui ait passé mes degrés d’éthologie à La Cense, j’ai pris des habitudes de positionnement et de maniement du matériel… Mais pour faire du spectacle, il faut pouvoir se mouvoir différemment et surtout pouvoir donner des indications près du cheval mais aussi à distance. Il faut donc que je tienne mon stick un simple stick de dressage dans la main droite, la longe dans la main gauche et je me place à l’épaule gauche du cheval. Voici quelques photos [/et_pb_text][et_pb_slider admin_label= »Diapo » show_arrows= »on » show_pagination= »on » auto= »off » auto_ignore_hover= »off » parallax= »off » parallax_method= »off » remove_inner_shadow= »off » background_position= »default » background_size= »default » hide_content_on_mobile= »off » hide_cta_on_mobile= »off » show_image_video_mobile= »off » header_font_size= »46″ body_font_size= »16″ custom_button= »off » button_text_size= »20″ button_border_width= »2″ button_border_radius= »3″ button_letter_spacing= »0″ button_use_icon= »default » button_icon_placement= »right » button_on_hover= »on » button_border_radius_hover= »3″ button_letter_spacing_hover= »0″] [et_pb_slide background_position= »default » background_size= »default » background_color= »ffffff » image= » » alignment= »center » background_layout= »light » allow_player_pause= »off » header_font_select= »default » header_font= » » body_font_select= »default » body_font= » » custom_button= »off » button_font_select= »default » button_font= » » button_use_icon= »default » button_icon_placement= »right » button_on_hover= »on »] Fiona Carter nous montre le travail aux longues rênes avec Japito avant de nous faire passer un par un. [/et_pb_slide][et_pb_slide background_position= »default » background_size= »default » background_color= »ffffff » image= » » alignment= »center » background_layout= »light » allow_player_pause= »off » header_font_select= »default » header_font= » » body_font_select= »default » body_font= » » custom_button= »off » button_font_select= »default » button_font= » » button_use_icon= »default » button_icon_placement= »right » button_on_hover= »on »] Claire s’essaie au pas espagnol avec Japito. [/et_pb_slide][et_pb_slide background_position= »default » background_size= »default » background_color= »ffffff » image= » » alignment= »center » background_layout= »light » allow_player_pause= »off » header_font_select= »default » header_font= » » body_font_select= »default » body_font= » » custom_button= »off » button_font_select= »default » button_font= » » button_use_icon= »default » button_icon_placement= »right » button_on_hover= »on »] Claire et Japito dans un essai de passage pour Claire car Japito sait très bien le faire ! [/et_pb_slide][et_pb_slide background_position= »default » background_size= »default » background_color= »ffffff » image= » » alignment= »center » background_layout= »light » allow_player_pause= »off » header_font_select= »default » header_font= » » body_font_select= »default » body_font= » » custom_button= »off » button_font_select= »default » button_font= » » button_use_icon= »default » button_icon_placement= »right » button_on_hover= »on »] Fiona fait faire la révérence à Japito [/et_pb_slide][et_pb_slide background_position= »default » background_size= »default » background_color= »ffffff » image= » » alignment= »center » background_layout= »light » allow_player_pause= »off » header_font_select= »default » header_font= » » body_font_select= »default » body_font= » » custom_button= »off » button_font_select= »default » button_font= » » button_use_icon= »default » button_icon_placement= »right » button_on_hover= »on »] Japito s’assied dans le canapé. [/et_pb_slide][et_pb_slide background_position= »default » background_size= »default » background_color= »ffffff » image= » » alignment= »center » background_layout= »light » allow_player_pause= »off » header_font_select= »default » header_font= » » body_font_select= »default » body_font= » » custom_button= »off » button_font_select= »default » button_font= » » button_use_icon= »default » button_icon_placement= »right » button_on_hover= »on »] James fait asseoir Chocolat, monté par une stagiaire. [/et_pb_slide] [/et_pb_slider][et_pb_text admin_label= »Texte » background_layout= »light » text_orientation= »left » text_font_size= »14″ use_border_color= »off » border_color= »ffffff » border_style= »solid »] En tout cas les sensations sont au rendez-vous ! Après le travail à pied, c’est au tour du travail monté. Les chevaux sont sensibles et très bien dressés ! C’est assez perturbant quand on passe de chevaux plus classiques ou je dirais, moins expressifs, mais Fiona et James n’hésitent pas à d’abord nous tenir en longe avant de nous lâcher dans la carrière. Cela permet de démarrer calmement, en prenant ses marques et en suivant à la lettre les instructions. Personnellement j’ai bien apprécié le fait d’être longée et la seconde fois, j’avais vraiment pris mes marques avec le cheval et nous avons pu évoluer et faire de belles choses. Les deux fois, j’ai monté un beau lusitanien un peu sensible, qui a tendance à reculer si il y a trop de main ou si les instructions ne sont pas claires. Il a besoin d’une main souple et d’indications claires, précises et douces pour ne pas se mettre en révolution. Bref, une main de fer dans un gant de velours ! Louis a monté un jeune entier, très sensible. Voici quelques images [/et_pb_text][et_pb_video admin_label= »Vidéo » src= » »] [/et_pb_video][et_pb_text admin_label= »Texte » background_layout= »light » text_orientation= »left » text_font_size= »14″ use_border_color= »off » border_color= »ffffff » border_style= »solid »] La seconde journée de stage m’a permis de constater une belle évolution. Franchement, c’est vraiment extraordinaire de pouvoir monter des chevaux de cette qualité ! Une heure de leçon sur ces chevaux en vaut 10 sur un cheval de club !!! Sans parler du fait que l’enseignement de James et Fiona est vraiment intéressant et permet de progresser beaucoup plus vite la position est revue complètement pour nous faire oublier tout ce qu’on essaie de nous apprendre pour nous garder dans la médiocrité ps voir mon article sur Voulez-vous vraiment apprendre à monter à cheval ?. Bref ce stage est à faire ! Que vous soyez propriétaire ou cavaliere de club, offrez vous cela ! Vous allez découvrir des nouvelles sensations, des nouvelles façons de faire et surtout…VOUS FAIRE PLAISIR ! On repart boosté, avec l’envie d’apprendre plein de nouvelles choses à nos chevaux et on a la BONNE MÉTHODE !!! [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row admin_label= »Ligne » make_fullwidth= »off » use_custom_width= »off » width_unit= »on » use_custom_gutter= »off » gutter_width= »3″ padding_mobile= »off » background_color= »116ebf » allow_player_pause= »off » parallax= »off » parallax_method= »off » make_equal= »off » parallax_1= »off » parallax_method_1= »off » column_padding_mobile= »on »][et_pb_column type= »4_4″][et_pb_blurb admin_label= »Résumé » url_new_window= »off » use_icon= »off » icon_color= »00a8ff » use_circle= »off » circle_color= »00a8ff » use_circle_border= »off » circle_border_color= »00a8ff » icon_placement= »top » animation= »top » background_layout= »dark » text_orientation= »left » use_icon_font_size= »off » header_font_size= »18″ body_font_size= »14″ use_border_color= »off » border_color= »ffffff » border_style= »solid » title= »Et en plus ! ] Nous déjeunons tous ensemble dans la véranda près de la piscine. C’est la maman de Fiona est une excellente cuisinière 🙂 [/et_pb_blurb][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row admin_label= »Ligne »][et_pb_column type= »4_4″][et_pb_text admin_label= »Texte » background_layout= »light » text_orientation= »left » text_font_size= »14″ use_border_color= »off » border_color= »ffffff » border_style= »solid »] Suivez la Team Carter sur facebook pour avoir les infos sur les prochains stages ! [/et_pb_text][et_pb_social_media_follow admin_label= »Suivez-nous sur les réseaux sociaux » link_shape= »rounded_rectangle » background_layout= »light » url_new_window= »off » follow_button= »off »] [et_pb_social_media_follow_network social_network= »facebook » url= » » skype_action= »call » bg_color= »3b5998″] Facebook [/et_pb_social_media_follow_network] [/et_pb_social_media_follow][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section] L’engagement des postérieurs, une priorité absolue, mais pourquoi ? Vous souhaitez avoir un cheval plus dynamique, plus léger, rassemblé et en équilibre ? Il est primordial pour cela qu’il tende sa ligne du dessus, qu’il abaisse ses hanches et grandisse son avant main. Mais rien de cela n’est possible sans l’engagement des postérieurs ! Pour autant, obtenir un bon engagement des postérieurs, même avec un cheval mou est possible. Voici une sélection de 3 exercices pour améliorer l’engagement des postérieurs de votre cheval. Pourquoi l’engagement des postérieurs est si important ? Travailler son cheval c’est viser l’harmonie musculaire. Chercher à avoir un cheval disponible, capable de porter son cavalier avec aisance. Optimiser sa locomotion, développer sa force, son agilité et sa souplesse sur le plat et à l’obstacle. Travailler son cheval dans le bon sens n’est possible qu’avec un cheval qui monte son dos, se tient seul en équilibre. Physiquement, pour avoir un cheval disponible, léger à la main et dans un équilibre montant, le cheval doit apprendre à se rassembler. Un peu comme une balance à poids, pour alléger l’avant main, l’arrière main doit apprendre à porter plus de poids. Les hanche se baissent, le garrot remonte. C’est pour cette raison que l’engagement des postérieurs est nécessaire. Dans le cas contraire, le cheval se désengage, il lui sera impossible de gagner en équilibre, en dynamisme et en propulsion. Comment juger l’engagement des postérieurs de son cheval ? Pour juger l’engagement des postérieurs d’un cheval rien de plus facile que regarder les traces des sabots ou des fers dans le sable. Lorsque le cheval engage ses postérieurs “juste ce qu’il faut”, les traces des postérieurs recouvrent les traces des antérieurs. On dit alors que le cheval se juge. Lorsque les traces des postérieurs se positionnent devant celles des antérieurs le cheval engage vraiment ses postérieurs. Il se méjuge. Enfin lorsqu’il traine un peu les pieds, il se déguge. Les traces des postérieurs sont situées derrière les traces des antérieurs. Si votre cheval se juge, c’est juste. S’il se méjuge, c’est mieux. Lorsqu’il se déjuge, c’est dommage ! Exercice 1 pour améliorer l’engagement des postérieurs de votre cheval Le passage postérieur C’est un exercice que j’ai découvert lorsque j’étais à la Garde Républicaine. Il s’agit de faire passer le postérieur interne sous la masse. Tout en vérifiant et améliorant la réponse à la jambe isolée. Le cheval dans l’incurvation, doit réaliser une sorte de petit demi-tour autour de ses épaules. Les hanches tournant plus large, le postérieur intérieur venant croiser devant le postérieur extérieur. L’engagement des postérieurs dans cet exercice est profond et permet d’aider le cheval à abaisser sa hanche intérieure. Il est à demander principalement au pas, lors des phases de détente, mais également pendant les pauses, entre deux exercices plus dynamiques. Cliquez sur l’image pour retrouvez tous les exercices pour améliorer l’engagement des postérieurs Exercice 2 pour améliorer l’engagement des postérieurs Epaule en dedans – allongement Dans ce deuxième exercice pour améliorer l’engagement des postérieurs nous allons combiner les effets bénéfique des déplacements latéraux avec ceux des transitions montantes. Commencez en sortie d’un petit côté par installer votre cheval en épaule en dedans. C’est un exercice très efficace pour obtenir l’engagement des postérieurs. En particulier le postérieur intérieur, qui est obligé de s’engager sous la masse. Puis après quelques mètres en épaule en dedans, profitez de l’axe des épaules pour partir vers l’avant sur une petite diagonale. Profitez également de l’engagement du postérieur interne pour demander un allongement de l’allure. Ainsi le postérieur engagé sous la masse donne plus de force, de puissance et de propulsion à votre allongement lors de la poussée. Retrouvez plus de 90 exercices pour progresser en cliquant sur l’image Le truc en plus Réalisez principalement cet exercice au trot. Pour aller encore plus loin dans l’amélioration de l’engagement des postérieurs Préparez l’exercice à partir d’un petit cercle de 10 mètres en entrant vraiment dans le coin pour avoir un cheval bien engagé. Finissez l’exercice sur un petit cercle de 10 mètres après la diagonale pour ré-engager le “nouveau” postérieur interne suite à votre changement de main et pour ré-équilibrer votre cheval. Exercice 3 pour améliorer l’engagement des postérieurs de votre cheval Epaule en dedans – Tête au mur Un dernier exercice présenté dans cet article pour vous aider à améliorer l’engagement des postérieurs de votre cheval. Vous pourrez en retrouver plus encore dans notre programme complet. Nous allons maintenant demander à notre cheval d’engager sous sa masse son postérieur interne, puis son postérieur externe tour à tour. Après le passage du coin, demander une épaule en dedans pour engager le postérieur interne de votre cheval. Après 10-12 mètres en épaule en dedans, partez sur un petit cercle de 10 à 12 mètres de diamètre. Conservez l’incurvation pour partir en tête au mur dès que vous rejoignez la piste. Cet exercice mobilise vraiment les hanches des chevaux et perfectionne l’engagement des postérieurs au pas et au trot. Les chevaux les plus expérimentés pourront même le réaliser au galop, en dessinant un cercle un peu plus grand par contre. L’engagement des postérieurs est bien indispensable à une équitation juste. Il permet aux chevaux de rester dynamique et dans l’impulsion. D’améliorer leur équilibre latéral et longitudinal. De perfectionner la rectitude et réduire l’asymétrie naturelle… Bien entendu toutes ces notions sont interdépendantes, bien qu’elles puissent s’améliorer de manière spécifique et avec des exercices différents. Pour vous aider à retrouver facilement les exercices les plus pertinents pour travailler le point faible de votre cheval. Pour développer ses aptitudes et ses points forts facilement, j’ai créé une banque d’exercices sur le plat et à l’obstacle pour vous accompagner au quotidien Les tours de magie, c’est pas réservé qu’à Incroyable Talent ! Tous les cavaliers pourvus d’un cheval un tant soit peu intelligent ou gourmand peuvent se transformer en David Copperfield en herbe ! Voyez plutôt… Le poney yes man En lui pinçant l’encolure gentiment hein bande de brutes, un cheval fait un mouvement de va et vient vers le haut. De la même façon, en associant le geste à la parole et surtout la récompense, il aura appris un truc en plus ! Mise en situation “Kikinou, tu veux aller faire un concours de hunter ?” Là encore, c’est pas impossible que le tour ne fonctionne pas… Après la vache qui rit, le cheval qui rit Source pixabay Un petit peu de pommade camphrée sur les doigts, et une petite caresse sur les naseaux ! Hop, Pégase se met à faire le flehmen en retroussant son nez ! Vous savez, un de ces tics étranges qu’on voit souvent ! Il n’est pas vraiment en train de rigoler, mais ça coûte rien d’essayer de le faire croire aux autres… Le poney qui dit non Quand on chatouille l’oreille d’un cheval, il montre qu’il n’aime pas ça en secouant la tête. Avec des récompenses et en associant le geste au mot ”non”, il répondra sans triche à une question finissant par non ! Mise en situation “Kikinou, tu veux aller faire une club élite ?” Bon là s’il répond non, c’est sans doute fait exprès par contre… La jambette, le plus connu des tours de magie Source pixabay Sans doute le tour le plus répété par les chevaux ! En même temps c’est assez simple, avec un cheval assez éveillé. Un petit susucre sous le poitrail, eeeeeeeet jambette Kiki, jambette ! Et voilà un cheval prêt pour le cirque ! Avec ça vous pourrez pécho n’importe quel non cavalier ! Le poney parlant En le grattouillant discrètement derrière le garrot, le cheval entre en transe. Alors il se met à se dandiner et à faire des mouvements avec son nez. Reste plus qu’à faire croire aux potes cavaliers qu’il parle ! Et pour la traduction, on vous fait confiance… Bon, on garde quand-même à l’esprit que le poney n’est pas fait pour le cirque à la base hein ! Mais croyez-le ou non, il sera très content d’apprendre ces petits tours de magie faciles avec vous ! Et si vous avez peur qu’il soit malheureux avec vous, allez checker la liste de ce qui rend un cheval heureux… Source photo à la une Pexels

comment apprendre la révérence a son cheval