Vidéo Chasse à courre au renard avec l’équipage des beaux couverts; Le tribunal administratif d’Amiens a décidé d’empêcher la chasse au blaireau dans la Somme ; Vidéo: une jeune cavalière de 18 ans concourt pour le championnat de France du cheval de chasse; Chasse à courre & bien-être animal: Les enjeux de la cohabitation des hommes et du monde animal;
En2007, l'alouette des champs était déjà chassée dans les Landes. Le Conseil d'Etat a suspendu les derniers arrêtés du gouvernement autorisant les chasses traditionnelles d'oiseaux, déjà jugées illégales par le Conseil d'Etat en août dernier. Parmi les oiseaux concernés, l'alouette des champs, un oiseau très prisé dans les Landes.
Notredécouverte de la chasse à courre Par communication Vènerie 14/12/2021 Témoignage de Caroline, chasseresse dans les Landes : « Lorsque je publiais des stories
Aubout de 30 minutes, l'équipage de chasse à courre du Vautrait des Landes finit par s'en aller, sans faire de dégât. Les vidéos de Julie Ducos ont été relayées sur les réseaux sociaux par le
PassionChasse by Franck ES. 3.23K subscribers. Vidéo de la chasse d'un Cerf de plus de 10 ans dans les Landes et au brâme.
Letransport, la vente et l’achat du gibier sont interdits conformément à l’article L. 424-12 du Code de l’Environnement. Il rappelle aussi les dispositions générales et particulières applicables à
c46r. Publié le 20 septembre 2020 à 20h20, mis à jour le 21 septembre 2020 à 0h04Source JT 20h WEPoursuivi par une chasse à courre, un cerf s'est réfugié hier matin au niveau d'un chantier à Compiègne. Épuisé, il est resté plusieurs heures allongé avant de prendre la fuite vers la forêt. Les animalistes s'indignent de cette matin, après une traque par un équipage de chasse à courre, un cerf, hagard et épuisé, s'est retrouvé dans les rues de Compiègne. La scène a été filmée par les militants de l'association AVA Abolissons la Vénerie Aujourd'hui. L'image a pu émouvoir. L'animal a pu regagner la forêt en lisière de la ville. Le principe même de la chasse à courre, appelée aussi vénerie, est d'épuiser l'animal avant de le mettre à mort. Cet incident a relancé le débat autour de cette pratique. Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 20H du 20/09/2020 présenté par Anne-Claire Coudray sur TF1. Vous retrouverez au programme du JT de 20H du 20 septembre 2020 des reportages sur l'actualité politique économique, internationale et culturelle, des analyses et rebonds sur les principaux thèmes du jour, des sujets en régions ainsi que des enquêtes sur les sujets qui concernent le quotidien des FrançaiSur lemême thèmeToutTF1 InfoLes + lusDernière minuteTendanceVoir plus d'actualités Voir plus d'actualités Voir plus d'actualités
Ce film présente un ensemble de séquences sur la chasse à courre en forêt de Retz Villers-Cotterêt. Les scènes datées des années 1933-1936 représentent l’équipage Menier. Gaston Menier était maître d'équipage en forêt de Villers-Cotterêt pour la chasse au cerf. Le dernier équipage Menier date de 1936. Les scènes datées des années 1950 représentent le Rallye Forêt de Retz avec Maurice Loubet en maître d’équipage. Ce dernier a reconstitué l'équipage de Villers-Cotterêt après la Seconde Guerre mondiale. La chasse à courre se déroule en plusieurs étapes au cours d’une journée Faire du bois faire la quête à l'animal. Le rendez-vous. Le rapport. L'attaque. Le déroulé de la chasse. Retraite prise. La curée. Retraite de grâce. Retour au chenil. Descriptif du film détaillé avec la contribution d’Alain-Pierre Baudesson, membre de l’association Club du Moulin Michel Des Lions pour la conservation de la mémoire historique de la vénerie en forêt de Retz. 0'08 Familial. 0'29 Villers-Cotterêt avant 1939. Fête de famille avec Maurice Loubet, maître d'équipage en cravate, dans la cour de la vénerie. En présence de Maurice Angot, négociant à Villers-Cotterêt. 1'14 le personnel de la vénerie. 2’03 Mariage. 2'41 Yvette Volker, fille de Maurice Loubet. 2'48 Vers 1955-1960, Concours hippique au stade de foot de Villers-Cotterêt. Maurice Loubet est le Président de la Société hippique rurale SHR. Ce concours a lieu tous les ans. Présentation de la meute par le maître d'équipage, Maurice Loubet. Défilé des cavaliers Présentation de l'équipage. Parmi les cavaliers, on distingue Jacques De Faÿ, agriculteur à Pont-Saint-Mard. Meute de chiens de chasse. Sauts d'obstacles cavaliers et chiens. Les enfants montent à cheval. 5'45 Familial, à la plage. Un moniteur avec un groupe d'enfant exercices, gym, étirements. 6'14 Messe de la Saint-Hubert. En présence des sonneurs du Débuché de Paris, les chasseurs fêtent la Saint-Hubert à Villers-Cotterêt. 6'16 Départ de chasse en début de saison. Une meute de chiens traverse un champs. 6'39 Battue de louveterie. "Louvetier" charge honorifique attribuée par le préfet pour entretenir une meute de 6 chiens courants dresser pour courir le sanglier ou le renard. Le louvetier entraine les chiens en dehors des dates de chasse. Une battue de louveterie est une chasse pour réguler les nuisibles sangliers et renards. Les hommes et les femmes sont ici réunis devant une cabane de chasseur. En présence de Maurice Angot, négociant à Villers-Cotterêt. Les hommes portent leur fusil sur le dos. 8'11 Chasse de début de saison. Chasse au cerf, Chasse en petite tenue chasse en tenue d'équipage après la Saint-Hubert, début novembre. Officiellement c'est le 3 novembre. Années 1930. Equipage Menier. Le dernier cavalier porte une pibole, c'est à dire une trompe de chasse. "On sonne de la trompe". 8'39 vers 1950-195, chasse à courre avec l'équipage Rallye Forêt de Retz et Maurice Loubet en maître d'équipage. On distingue une "locomobile" une machine à vapeur faisant tourner les scieries volante en forêt. Chasse en petite tenue, chasse d'entrainement. 9'19 La curée. Une fois que le cerf est mort, on fait une curée chaude en forêt. On assiste ici au balancé de la tête du cerf. La tête du cerf mort est tenue par les bois et montrée à l'équipage on la tourne de droite à gauche face au public. Lors de la curée, on raconte la chasse de la journée on théâtralise. Les chiens sont tenus en meute sous le fouet. Le L de Loubet est reconnaissable sur les chiens. 9'53 On sonne la curée, ça se termine. 10’00 C'est un rdv avec un rapport. Le piqueux a un galon sur sa toque, c'est lui qui dirige les chiens. 10'14 Entrainement hippique à Villers Cotterêt, face à la vénerie. C'est la Société hippique rurale, des chevaux de chasse s'entrainent. 10'49 Chasse à courre avec l’équipage Menier en présence de Gaston Menier homme à barbe blanche, avant novembre 1934. Gaston Menier décèdera en novembre 1934. Maurice Loubet est piqueux. C’est un premier rendez-vous. 11'23 on sonne la curée. 11'49 Bat-l’eau à l’étang de la Ramée de Villers-Cotterêt. Un cerf nage dans l'eau de l'étang, il est poursuivit par les chiens de chasse. Scènes de chasse en forêt. 12'41 la queue coupée du cheval est un détail permettant de reconnaitre l'équipage Menier. De plus, dans l'équipage Menier, les piqueux ont un cheval blanc. 13’03 C'est l'hallali sur pieds. En forêt, le cerf est encerclé par les chiens, ils l'ont capturé. On sert le cerf au pistolet. L'hallali est le dernier temps de la chasse à courre, celui où la bête pourchassée est mise à mort. 13'34 Cour de la vénerie à Villers-Cotterêt. On voit le personnel en tenue de travail pour s'occuper des chevaux aux écuries. 13'48 Départ de la chasse. 13'56 Dans la cour de la vénerie à Villers-Cotterêt. 14'24 Un bat-l'eau, avant 1936. Moment de la chasse à courre, où l’animal traqué se jette à l’eau. C'est une chasse au cerf le cerf traverse l'étang à la nage, poursuivit par les chiens. En forêt, équipage Menier chevaux à la queue coupée. 15'24 Bat-l'eau dans l'Ourcq, rivière passant au sud de Villers Cotterêt. Vers fin 1934 – début 1935. Des hommes portent un brassard noir sur leur tunique. Ce qui pourrait signifier que Gaston Menier vient de décéder. Les hommes ont porté ce brassard noir une seule fois et c'était à la mort de Gaston Menier. Ils ont porté le deuil durant toute la saison. En Forêt domaniale de Retz, les chiens sortent de l'eau, deux chasseurs tirent le cerf hors de l'eau. Le cerf est mort et a été servit. 16’07 un chasseur tire le cerf avec un cable, un "crapin". 16'19 Chasse à courre en forêt de Retz, équipage Menier, décembre 1934 ou début 1935. Rassemblement près de la maison forestière de la Croix de Dampleux. Le maître d'équipage après la mort de Gaston Menier est son fils Jacques Menier. Il sera le dernier maître d'équipage de cet équipage jusqu'en 1936. Le piqueur est Maurice Loubet. Il deviendra maître d'équipage après la guerre jusqu'au milieu des années 1960. Il est reconnaissable sur le film par un bandeau qui semble blanc autour de sa bombe. 17'29 Action de chasse. Équipage Menier en deuil, en forêt. 17'59 le cerf est par terre, entouré des chasseurs. 18'05 Elevage des chiots au chenil de Villers-Cotterêt. 18'31 Départ pour la chasse depuis la vénerie de Villers-Cotterêt. Sortie de la vénerie pour aller au rendez-vous. 19'16 + 19'29 employés de la vénerie, vers 1934-1935. Ils sont responsables du chenil, ils nettoient la cour après le départ des chiens. Nous sommes dans la cour intérieure de la vènerie. A l'étage se trouve le logement du piqueux. 19'32 le rdv des chasseurs, équipage Gaston Menier. On y voit Maurice Loubet en piqueux. Il porte une toque avec un liseret doré. Il y a un M sur les chiens. Sont présents Alfred et Maurice Loubet, Louis de Cornois devenu maître d’équipage en 1936 en nommant l'équipage "Rallye de la forêt de Retz ». Lucien Rosselet, Bouton Menier. 20’07 Une curée, avec l’équipage Menier M sur les chiens. 20'38 Cour de la vénerie. Entrée de la cour d'ébat là où on laisse les chiens s'ébattre, grande pâture. C'est près du chenil. 20'48 En famille, avec Maurice Loubet et Maurice Angot. 21'21 Un rendez-vous avec l’équipage Menier, en 1935-1936. Maurice Loubet en piqueux. L'homme à la barbe est Lucien Rosselet. 21'35 départ pour la brisée. On va mettre les chiens aux branches. Le limier fait le tour. Dès que le chien évente, il voit s'il y a des traces, des fumées crottes, il brise à l'endroit une branche qu'il casse dans la direction ou pas de l'animal. 21'41 Maison forestière des Têtes de Chavigny, route de Chavigny à Montgobert. 21'54 un débuché. Les animaux gibiers sortent de la forêt et traversent la plaine. On sonne le débuché, s’il y a des cavaliers. Les animaux sont hardés ils sont plusieurs. 22'12 dans la forêt décimée, le cerf est très visible. 22'25 "la vue". Le cerf est visible et passe devant nous en courant. 22'29 "le cerf est aboyé à la lieue". La lieue carrefour de Villers-Cotterêt. 22'32 l'hallali sur pied, le long de la maison forestière. On va le servir au pistolet. 23'42 moutons à la vénerie. 24'10 Vers 1935, Menier est décédé, l’équipage Menier est en en deuil brassard noir. Un débuché. 24'13 Une curée. On sonne de la trompe de chasse. 24'30 On sonne la curée. 22'42 les chiens font curée. 24'52 le maitre d’équipage faite les honneurs. Puis c'est la fin de la curée.
Mardi 9 août, en début de journée, la nouvelle tombe dans les médias et sur les réseaux sociaux les incendies repartent sur la commune de Landiras, en Gironde. Après les terribles sinistres qui ont frappé ce département au mois de juillet, détruisant plus de 20 000 hectares, toute la région revit ce terrible drame et cette fois-ci, l’incendie se propage rapidement en direction du département voisin des Landes où 200 hectares partent rapidement en fumée sur la commune de Moustey. Dès que Jean-Luc Dufau, le président de la fédération départementale des chasseurs des Landes FDC 40 apprend la nouvelle, il réunit son équipe œuvrant au sein de l’administration de la fédé et décide d’agir pour apporter de l’aide au plus de 200 pompiers qui luttent pour tenter de circonscrire les flammes. Rapidement, les chasseurs décident de pourvoir au soutien logistique des soldats du feu en leur préparant et en leur servant des repas chauds. Le lendemain, mercredi 10 août, c’est tout le personnel et la direction de la fédé, aidé de chasseurs bénévoles, qui s’organisent pour réunir les victuailles et monter un centre de distribution sur la commune de Mano, proche du sinistre. Aussitôt dit, aussitôt fait, dès hier, jeudi 11 août, c’est plus plus de 250 repas qui sont cuisinés et servis le midi et 250 autres qui le seront aujourd’hui pour soutenir pompiers et gendarmes qui œuvrent sur le terrain face aux flammes. Un grand bravo aux chasseurs des Landes et à leur président, honorant par cette action toute la communauté des chasseurs qui, tout au long des divers épisodes d’incendies qui ont ravagé notre pays cette année, s’est toujours illustrée comme un soutient des sapeurs-pompiers quand nos détracteurs, écolos extrémistes, animalistes et anti-chasse de tous poils, sont restés tranquillement au frais devant leur poste de télé ou leur écran d’ordinateur.
Publié le 29 février 2020 à 14h20 Le rallye du Grand Pas à droite accompagné de sonneurs locaux avant le départ pour la chasse. SANDRINE GUEGUEN Mercredi matin, bon nombre de passionnés et curieux de la chasse à courre se sont retrouvés autour du boulodrome. Le Rallye du Grand Pas, d’Ille-et-Vilaine, était invité par l’Amicale rurale des chasseurs locale. Après avoir présenté la meute de Chiens Français Blanc Orange » à plus de 150 suiveurs, sonné quelques fanfares de circonstances, le maître d’équipage invité chacun à suivre les consignes de sécurité avant de lancer les rabatteurs sur la voie d’un sanglier trouvée un peu plus tôt dans la matinée dans les environs des Landes du Cragou. Les chiens à gorge déployée ont chassé près de trois heures.
Dans la nuit du mercredi 10 au jeudi 11 août, un troupeau d’ovins a été attaqué dans le secteur de la station de Flaine Haute-Savoie, située à 2500 mètres d’altitude et à cheval sur les communes de Magland, d’Arâches-la-Frasse, ainsi que de Passy. Plus d’une quinzaine d’animaux ont trouvé la mort dans cette attaque. Jean-Luc, le berger, a poussé le lendemain un coup de gueule sur les réseaux sociaux et nous nous devions de vous faire partager ce texte dans son intégralité Les loups coûtent plus de 35 millions d’euros aux contribuables français… A ceux qui disent » comment faisaient les anciens ? » , la réponse est simple, ils les tuaient et les avaient éradiqué de France. AUCUN alpagiste n’arrivera à co-habiter avec les loups et plus les alpagistes abandonneront la montagne, plus les Loups se concentreront sur les troupeaux restants. La population de loups explose de façon exponentielle sous les encouragements des services de l’état DDT, OFB…, pour qui ils sont devenus un fond de commerce. Cette nuit, nous avons encore été attaqué, je ne voulais pas priver les pro-loups de ces belles photos……17 brebis gestantes. Plus de 30 brebis tuées ou dérochées sous la pression des loups depuis 1 mois…… Pendant que des milliers d’enfants meurent de faim tous les jours sur Terre, des fous dangereux cautionnement la réintroduction du Loup dans les Alpes Vive la FRANCE. »
chasse a courre dans les landes