Lhomme ne vit pas seulement de pain par Michel Poivert, aux Ă©ditions Jannink. BasĂ© sur le projet sculptural Ă©ponyme rĂ©alisĂ© par l'artiste palestinien dans une savonnerie provençale artisanale, ce catalogue prĂ©sente une sĂ©lection d'oeuvres citation1. L' homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. Matthieu, IV, 3-4 de. La Bible. RĂ©fĂ©rences de La Bible - Biographie de La Bible. Plus sur cette citation >> Citation de La Bible (n° 6111) - Ajouter Ă  mon carnet de citations. Notez cette citation : - Note moyenne : 4.62 /5 (sur 467 votes) LHomme ne vit pas seulement de pain Cette phrase de l’Évangile (Luc, 4) prend tout son sens en temps de crise Ă©conomique. Parce que les temps sont difficiles, certains voudraient nous faire croire que les seules questions importantes sont d'ordre Ă©conomique : chĂŽmage, croissance, austĂ©ritĂ©, rĂ©duction des dĂ©ficits publics etc. Bien sĂ»r, ces prĂ©occupations sont centrales et Uneparole de l’Évangile nous le rappelle; et c’est cette parole que nous redisons et laissons dĂ©poser sur vous tous, membres de l’humanitĂ©: « L’homme ne vit pas seulement de LHomme ne vit pas seulement de pain : Roman traduit du russe par MaĂŻa Minoustchine et Robert Philippon - Doudintsev, Vladimir, Minoustchine, Maya, Philippon, Robert - Livres Livres â€ș Histoire Chantd'entrĂ©e ou chant de la Parole - 1er dimanche de CarĂȘme Le texte du chant: TĂ©lĂ©charger au format PDF Avertissement conformĂ©ment au droit en vigueur, nous vous rappelons que ce chant est une oeuvre complĂšte Ă  part entiĂšre, c'est Ă  dire un texte et une musique. En consĂ©quence: - ce texte ne peut en aucun cas ĂȘtre l'objet d'une autre mise en musique. - ce texte ne peut en aucun EM8OS. Par HABIB TENGOUR Pourquoi la littĂ©rature ? Pour vous, pour la sociĂ©tĂ©, pour les humains ? Pour qui ou quoi un Ă©crivain Ă©crit-il ? Questions que l’on pose toujours aux Ă©crivains ! Questions auxquelles les Ă©crivains n’ont pas toujours une rĂ©ponse satisfaisante. Au fond, la rĂ©ponse de Beckett, dans son laconisme, rĂ©sume bien ce qui motive un Ă©crivain Ă  Ă©crire, il n’est bon qu’à cela. Et c’est tant mieux. L’écriture est une nĂ©cessitĂ© Ă  laquelle l’écrivain ne saurait se soustraire. N’est Ă©crivain que celui qui se soumet Ă  cette nĂ©cessitĂ©. C’est lĂ  un truisme. Souvent, quand l’écrivain sort de son domaine pour s’investir ailleurs on l’y incite souvent et lui-mĂȘme parfois le dĂ©sire, titillĂ© par de mauvais dĂ©mons, le rĂ©sultat est catastrophique, quand bien mĂȘme il est encensĂ© pour cet engagement. Cela ne veut pas dire que je dĂ©fends l’écrivain retirĂ© dans sa tour d’ivoire. L’art pour l’art n’a pas plus de sens que l’art reflet du social. FinalitĂ© sans fin, l’art se suffit Ă  lui-mĂȘme, exigeant de l’artiste une servitude volontaire. Je pourrais m’arrĂȘter lĂ , mais je ne voudrais pas frustrer le lecteur de votre journal. Et, puisque les questions sont posĂ©es, il faut bien y rĂ©pondre franchement. Il s’agit bien sĂ»r de ma rĂ©ponse ; je ne saurais dire ce qu’il en est pour les autres Ă©crivains, pour la sociĂ©tĂ© ou pour les humains. Une rĂ©ponse personnelle qui ne se prĂ©tend pas Ă  une vĂ©ritĂ© indĂ©niable. Pourquoi la littĂ©rature ? C’est que l’homme ne vit pas seulement de pain
 La littĂ©rature, pas dans le sens pĂ©joratif d’artifice et tout le reste est littĂ©rature, est Ă  la fois nourriture terrestre et cĂ©leste. Loin d’ĂȘtre un supplĂ©ment d’ñme, la littĂ©rature, quand je parle de littĂ©rature j’entends par lĂ  la poĂ©sie elle se trouve aussi dans le roman, dans le théùtre, dans l’essai
, est l’ñme mĂȘme du monde. C’est un peu grandiloquent, c’est comme cela, je le pense toutefois. La poĂ©sie est pour moi ce qui fonde l’ĂȘtre, ce qui l’assure dans son existence et l’ouvre Ă  l’inconnu, non pas en le lui dĂ©voilant, mais en le lui faisant pressentir tout en demeurant inconnu. Elle lui permet de goĂ»ter Ă  la beautĂ© et d’en ĂȘtre Ă©bloui et mĂ©tamorphosĂ©. GrĂące Ă  la poĂ©sie, l’homme communie avec le reste des humains, dĂ©couvre toutes les ressources de son humanitĂ© et accĂšde peut-ĂȘtre aux mystĂšres de la divinitĂ©. Ce n’est pas un hasard si les mystiques de toutes les religions, et particuliĂšrement dans le taçawwuf, ont exprimĂ© leur extase dans des poĂšmes qui nous bouleversent encore aujourd’hui. Nous avons besoin de la littĂ©rature pour vivre en harmonie avec le monde et nous retrouver en communion avec les autres. La littĂ©rature est le trait d’union qui nous permet de nous orienter. Maintenant pour qui et pour quoi Ă©crire ? Cela dĂ©pend bien sĂ»r de ce que l’on Ă©crit et du moment de l’écriture. Tout Ă©crivain a en tĂȘte un lecteur idĂ©al, celui que Baudelaire admoneste Hypocrite lecteur – mon semblable –, mon frĂšre ! En ce qui me concerne, certains de mes textes sont destinĂ©s Ă  des personnes prĂ©cises, mais la plupart s’adressent au lecteur inconnu amateur de poĂ©sie en espĂ©rant que ce frĂšre soit animĂ© d’intention pure. J’ai commencĂ© Ă  Ă©crire pendant l’annĂ©e 1962. J’étais au lycĂ©e, en troisiĂšme. Au programme de français, le romantisme. J’avais dĂ©butĂ© par des saynĂštes satiriques sur mes camarades de classe. Un jeu ! Au printemps, avec la lecture de Lamartine, de Musset et du roman de GoĂ«the Les Souffrances du jeune Werther, je me suis mis Ă  Ă©crire des poĂšmes d’amour destinĂ©s Ă  des copines de classe. Le jeu devenait plus sĂ©rieux, mais j’étais encore loin d’ĂȘtre pris au piĂšge. C’est Victor Hugo qui m’inculqua le virus de l’écriture. La lecture de Victor Hugo en cette annĂ©e-lĂ  – c’était le centiĂšme anniversaire de la publication des MisĂ©rables – me stupĂ©fia complĂštement. J’ai dĂ©vorĂ© tous les livres trouvĂ©s dans la bibliothĂšque municipale de Massy et celle du XIXe arrondissement de Paris ; j’ai achetĂ© chez des bouquinistes Les Orientales, Les Odes et Ballades, Notre Dame de Paris, La LĂ©gende des siĂšcles, Les Contemplations
 Mustapha KaĂŻd m’avait offert Les ChĂątiments avec La MĂšre de Gorki et Le Matin des villageois de Tchao Chou Li pour ma rĂ©ussite au BEPC. Je lisais beaucoup en mĂȘme temps que j’écrivais. Ainsi allait se referma le piĂšge des Temps Modernes sur mes frĂȘles racines Kateb Yacine. Comme Victor Hugo, je voulais tout faire, du théùtre, du roman, de la poĂ©sie. Être l’écrivain tĂ©moin de son temps, portĂ© par son peuple et porteur d’une parole inouĂŻe, expression d’un moi et d’une conscience collective. L’indĂ©pendance me donnait des ailes. Le rĂȘve de produire un chant qui magnifie les souffrances endurĂ©es durant la colonisation. Ambition naĂŻve ! Inconscience de jeunesse ! Peut-ĂȘtre fallait-il cette inconscience pour oser s’affronter Ă  l’écriture
 Avec l’étĂ© 1962 et les luttes fratricides pour la prise du pouvoir dans le pays, je lisais Guerre et Paix de TolstoĂŻ, je perdis mes illusions dans une AlgĂ©rie libre et dĂ©mocratique. Pourtant, je continuais Ă  espĂ©rer dans un avenir plein de promesses
 Paradoxalement, c’est en lisant Les Orientales d’Hugo que je retrouvais les mu’allaqĂąt entendues dans mon enfance. Avec Le Voyage en Orient de Nerval, Les Paradis artificiels de Baudelaire, d’autres images me remontaient en mĂ©moire
 Deux annĂ©es plus tard, en 1964, la lecture de Gens de Dublin de Joyce allait me dĂ©sorienter complĂštement et me faire rĂ©viser ma conception de l’écriture. Abandonner une ambition dĂ©mesurĂ©e pour s’engager dans une autre tout aussi pĂ©rilleuse. Pour qui et pour quoi Ă©crire devenaient des questions oiseuses, inutiles ; seul comptait le fait d’écrire et d’explorer mĂ©thodiquement et sans complaisance toutes les arcanes de l’écriture. La langue d’écriture n’était plus un problĂšme malgrĂ© les injonctions du pouvoir politique Ă  n’écrire que dans “la langue nationale”. Je comprenais peu Ă  peu qu’un Ă©crivain n’écrit jamais dans sa langue maternelle ou nationale mais dans une langue Ă©trangĂšre qu’il traduit dans son Ă©tude pour en faire sa propre langue, trouver sa formule. La langue nationale est langue de l’information, de la paperasse administrative, du discours politique, alors que la langue littĂ©raire est toujours langue Ă©trangĂšre apprivoisĂ©e par un auteur pour la rendre audible au public qui veut bien l’entendre. Que de faux problĂšmes et de dĂ©boires subis par ma gĂ©nĂ©ration Ă  cause de cette question linguistique ! Je comprenais aussi combien la traduction des littĂ©ratures â€œĂ©trangĂšres” est indispensable pour partager ensemble les Ɠuvres de tout temps et de partout dans le monde, car la littĂ©rature appartient Ă  ses lecteurs. La traduction permet aussi Ă  chaque auteur de remettre ses pendules Ă  l’heure. Pour se confronter au travail d’écriture, ne pas hĂ©siter Ă  prendre exemple sur des devanciers prestigieux, Ă  s’attacher aux grands auteurs classiques de la littĂ©rature universelle, sans oublier les nĂŽtres, Kateb, Dib, Feraoun, Mammeri, SĂ©nac, Amrouche et tant d’autres qui nous ont ouvert la voie de l’écriture. Il y a aussi les contemporains avec qui on partage l’air du temps. En vĂ©ritĂ©, on n’écrit jamais seul bien que tout seul devant sa feuille blanche. Ne pas en tenir compte, c’est se fourvoyer
 Écrivant depuis tant d’annĂ©es, j’ai fini par accepter ce que me rĂ©pĂ©tait tout le temps Abdallah Benanteur l’artiste est au service de son art, il n’a pas Ă  s’en servir pour son propre compte. Il n’a rien Ă  demander ni Ă  se prĂ©occuper de la rĂ©ception de son travail, seulement Ă  faire du mieux qu’il peut. À s’y atteler modestement, chaque jour, sans relĂąche. Servir humblement l’écriture au lieu de l’utiliser Ă  d’autres fins me semble aujourd’hui la seule façon de mener Ă  bien une Ɠuvre littĂ©raire de qualitĂ©. Toute injonction extĂ©rieure Ă  la nĂ©cessitĂ© intĂ©rieure d’écrire ne peut que dĂ©voyer le rĂ©sultat. En tout cas, cette posture me permet de mener tranquillement mon travail. 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2015, par Sarah Le lac municipal Ô Lac Central! Jadis, fiertĂ© de cette ville! Que sont devenus tes atours et tes amis d’hier! Que sont devenus ceux qui parcouraient tes abords Les samedis, les dimanches et les jours de fĂȘte? Hier, fleuron de la capitale du Cameroun Aujourd’hui, tu n’es plus que l’ombre de toi-mĂȘme. Ici, tout s’est figĂ©. Tu es dĂ©sormais l’Ɠil Ă©teint de la ville. Tes atours d’hier se sont fanĂ©s. L’herbe folle a envahi tes abords. Tu es redoutĂ© des plus tĂ©mĂ©raires passants noctambules. Et dans l’indiffĂ©rence la plus totale, tu coules. Tu es la rĂ©verbĂ©ration de cette ville. Eau glauque, tu t’en vas Tu emportes avec toi les souvenirs de ces lieux mythiques. Ô Lac endormi, j’aurai aimĂ© te chanter comme Lamartine, Malheureusement, je ne suis pas Lamartine Et toi non tu n’es pas ce lac que jadis, chantait ce poĂšte. Seul et nostalgique, je rĂȘve de tes heures de ta gloire d’hier, Songeur j’entrevois aussi ton avenir! AprĂšs le labeur d’une dure journĂ©e, D’une semaine de travail bien remplie Des amoureux et des amis envahiront tes abords. Christophe Degaule 2015, extrait de OEP p Photo Jean-Louis Ntang Sarah "PassionnĂ©e de cuisine, dĂ©co, mode et de faits divers ah ouiiii comme vous avez entendu lĂ  Mes antennes sont connectĂ©es aux extrĂ©mitĂ©s du globe terrestre ; rien ne doit m’échapper, que ce soit la bagarre au beignetariat au carrefour Mendong chez m’a pau, que le problĂšme du nuclĂ©aire syrien
 Voir tous les articles de Sarah Uniquement par tĂ©lĂ©phone au 04 75 90 20 59 PrĂ©sentation Nul n'est prophĂšte en son pays », Semer la zizanie », L'homme ne vit pas que de pain », Porter au pinacle », Rendre Ă  CĂ©sar », etc. comme monsieur Jourdain faisait de la prose, nous citons les Evangiles sans le savoir. En presque 2000 ans d'histoire du christianisme, ces textes ont imprĂ©gnĂ© notre culture on y trouve de multiples aphorismes et sentences qui sont devenus des expressions courantes. Ces paroles vives, voire provocatrices, qu'on attribue pour la plupart Ă  JĂ©sus, se sont banalisĂ©es, et leur sens religieux est aujourd'hui imperceptible. En honnĂȘte homme amoureux des textes bibliques, Denis Moreau a choisi une centaine de ces locutions et leur redonne leur saveur premiĂšre. Restituant le contexte oĂč elles ont Ă©tĂ© prononcĂ©es selon un ordre qui rend compte du rĂ©cit Ă©vangĂ©lique, il explique leur sens et leur portĂ©e, et retrace, non sans humour, les multiples Ă©chos quelles ont trouvĂ©s au cours des siĂšcles. Une façon Ă  la fois distrayante et profonde de redĂ©couvrir les Évangiles sous un jour inattendu, ou de s'y initier. ApprĂ©ciations 0 Il n'y a pas encore d'apprĂ©ciations pour cet article. Bien-aimĂ©s, j’ai la joie de partager avec vous aujourd’hui une importante parole de notre Seigneur JĂ©sus-Christ, trouvĂ©e dans Matthieu 44 quand il dit l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu”. Dans l’histoire de la tentation de JĂ©sus, le diable essaye de pousser JĂ©sus Ă  jouer le rĂŽle de magicien qui utilise la puissance surnaturelle pour rĂ©pondre Ă  ses propres besoins, alors que la volontĂ© de Dieu pour lui Ă©tait autre Ă  ce moment-lĂ . En fait, il croit l’amener Ă  mettre en balance l’idĂ©al du Royaume de Dieu et la sĂ©duction d’un pouvoir capable de rĂ©soudre tous les problĂšmes d’un coup de baguette magique. Or, le salut de l’homme ne rĂ©side pas dans la seule satisfaction des besoins matĂ©riels, la maĂźtrise des forces de la nature ou l’établissement d’une autoritĂ© politique universelle. Il oppose aux ruses du diable la Parole de Dieu. C’est pourquoi, ayant Ă©tĂ© tentĂ© lui-mĂȘme dans ce qu’il a souffert, il peut secourir tous ceux qui sont tentĂ©s. Mais, le Seigneur JĂ©sus va accomplir le miracle de la multiplication des pains pour le bien des personnes venues Ă©couter ses enseignements. Alors quel pĂšre donnerait-il une pierre Ă  son enfant s’il lui demande du pain? Ou s’il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent? Donc, lorsque le diable le provoque, JĂ©sus s’en remet aux soins du PĂšre cĂ©leste qui, il le sait, lui donnera du pain et non des pierres. En effet, quand il Ă©choue de le tenter, il se retire et les anges viennent auprĂšs de lui pour servir Ă  manger. Nous nous rappelons que lorsque l’Eternel a fait sortir son peuple d’Egypte, il l’a nourri de la manne tombĂ©e du ciel; en lui rappelant que l’homme ne vit pas de pain seulement, mais qu’il vit de tout ce qui sort de la bouche de Dieu. Car observer les commandements de l’Eternel Dieu, c’est se mettre au rĂ©gime de la nourriture spirituelle qu’est la Parole de Dieu. En effet, dans Psaumes 119103 il est Ă©crit “Que tes paroles sont douces Ă  mon palais, plus que le miel Ă  ma bouche”. C’est parce que la sagesse de Dieu vaut mieux que les perles et qu’elle a plus de valeur que tous les objets de prix. Nous pouvons encore lire dans Psaumes 1911 Ă  propos de ses jugements qu’ “ils sont plus prĂ©cieux que l’or, que beaucoup d’or fin; ils sont plus doux que le miel, celui qui coule des rayons”. C’est vraiment la gloire de Dieu dans les cieux et dans sa parole, car l’or est le symbole de la richesse, et le miel le plus doux des aliments, celui de la jouissance du coeur. Et nous devons garder notre coeur plus que toute autre chose, car c’est de lui que viennent les sources de la vie. C’est pourquoi cette sagesse que donne la Parole de Dieu est entiĂšrement Ă©prouvĂ©e, car fondĂ©e sur la justice et la fidĂ©litĂ©; et nous savons que JĂ©sus lui-mĂȘme est restĂ© juste et fidĂšle jusqu’au bout et nous savons quelle rĂ©compense il a reçu. La justice divine donc est une justice Ă©ternelle et sa loi est la vĂ©ritĂ©. Elle est une lampe qui Ă©claire les pas de celui qui craint Dieu et ses commandements une lumiĂšre et des avertissements dans sa vie. Aussi, le prophĂšte JĂ©rĂ©mie a dĂ©clarĂ© au chapitre 15 verset 16 “J’ai recueilli tes paroles, et je les ai dĂ©vorĂ©es; tes paroles ont fait la joie et l’allĂ©gresse de mon coeur; car ton nom est invoquĂ© sur moi, Eternel, Dieu des armĂ©es.” De mĂȘme, le prophĂšte EzĂ©chiel a mangĂ© un rouleau de la parole que l’Eternel lui a donnĂ© Ă  manger et il Ă©tait doux dans sa bouche comme du miel. Ceci est Ă©crit dans EzĂ©chiel 33. Job avait si bien compris l’Eternel qu’il a dĂ©clarĂ© dans Job 2312 ”Je n’ai pas abandonnĂ© les commandements de ses lĂšvres; j’ai fait plier ma volontĂ© aux paroles de sa bouche”. Comme vous l’avez notĂ©, une telle attitude de soumission Ă  la parole de l’Eternel Dieu ne pouvait que permettre aux enfants d’IsraĂ«l de bĂ©nĂ©ficier de ses bienfaits, mais aussi de subir des reprĂ©sailles en cas de dĂ©sobĂ©issance. En dĂ©finitive, Dieu tout-puissant nourrit l’ñme de l’homme par sa parole, une nourriture qui est plus douce que le miel. Elle nous permet de grandir spirituellement pour sa gloire. Nous prions pour que vos efforts vous permettent de bien comprendre que vous pouvez vivre de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. PRIERE D’ACCEPTATION DE JESUS-CHRIST COMME SEIGNEUR ET SAUVEUR PERSONNEL J’invite Ă  prĂ©sent toute personne qui veut devenir une nouvelle crĂ©ation en marchant dans la vĂ©ritĂ©, Ă  faire avec moi la priĂšre suivante Seigneur JĂ©sus, j’ai longtemps marchĂ© dans les convoitises du monde en ignorant ton amour pour les humains. Je reconnais avoir pĂ©chĂ© contre toi et te demande pardon pour tous mes pĂ©chĂ©s, car aujourd’hui j’ai dĂ©cidĂ© de te donner ma vie en te prenant comme Seigneur et Sauveur personnel. Je reconnais que tu es mort Ă  la croix du Calvaire et que tu es ressuscitĂ© des morts pour moi. Je suis maintenant sauvĂ©e et nĂ©e de nouveau par la puissance du Saint-Esprit. Conduis-moi chaque jour vers la vie Ă©ternelle que tu donnes Ă  tous ceux qui obĂ©issent Ă  ta Parole. RĂ©vĂšle-toi Ă  moi et fortifie mon coeur et ma foi, afin que ta lumiĂšre luise dans ma vie dĂšs maintenant. Merci Seigneur JĂ©sus de m’accepter dans ta famille divine, afin que je puisse aussi contempler les merveilles de ton royaume. Je vais choisir maintenant un point d’eau tout proche oĂč me baptiser par immersion, au nom du PĂšre, du Fils et du Saint-Esprit. A toi toute l’adoration, la puissance et la gloire, maintenant et pour les siĂšcles des siĂšcles. Amen ! Je serais content de rĂ©agir Ă  vos questions et commentaires Ă©ventuels, avant de partager la semaine prochaine sur les aliments spirituels. Que le Seigneur Dieu vous bĂ©nisse en abondance. David Feze, Serviteur de l’Eternel des armĂ©es.

l homme ne vit pas seulement de pain