Leurfratrie peut ĂȘtre vue comme trois façons possibles d’envisager le monde des sorciers, mais ne laisse que peu d’espoir au vue du destin de leur descendance : le sang pur de Drago ne permet pas de « sauver » le monde des sorciers et Nymphadora, une sang-mĂȘlĂ©e, meurt. La relation de ces trois femmes Ă©choue, et relĂšve du tragique. L’amour qui peut exister ParAlexandre Phalippou. HARRY POTTER - Kate Upton, la cĂ©lĂšbre mannequin consacrĂ©e par sa couverture de Sports Illustrated, pourrait bien tenir un rĂŽle dans le prochain Harry Potter, ou du Cetarticle dĂ©crit dans l'ordre chronologique les Ă©vĂ©nements se dĂ©roulant dans le monde des sorciers créé par J. K. Rowling, incluant les histoires de Harry Potter et celles des Animaux fantastiques. Chronologie De l'ouverture d'Ollivander Ă  la naissance d'Albus Dumbledore (-382 - 1881) −382 : ouverture de la boutique de baguettes magiques Ollivander [1]. Lejournal de Tom Jedusor prĂ©sent dans l'un des romans Harry Potter. C'est Ă  la Monash University Faculty of Enginering, en Australie, que le docteur Wei She et son Ă©quipe viennent de proposer Apeine son pĂšre sorti, une Ă©lĂ©gante jeune femme entra dans la chambre de Dragomir. Qui Ă©tait elle? La fabuleuse mĂ©moire du garçon ne la reconnaissait pas. Le f SangPur. Un Sang-Pur est un sorcier dont les ancĂȘtres ne sont que des sorciers. Ce statut leur permet de se prĂ©tendre supĂ©rieur aux autres bien que cela soit faux. Certains Sang-Pur n'aiment pas les Moldus et les plus extrĂ©mistes d'entre eux voudraient leur donner le statut d'animaux. Les Mangemorts se targuent d'avoir le sang pur contre JeBT. Chers fans de CodyCross Mots CroisĂ©s bienvenue sur notre site Vous trouverez la rĂ©ponse Ă  la question Sang de __ insulte dans le monde de Harry Potter . Cliquez sur le niveau requis dans la liste de cette page et nous n’ouvrirons ici que les rĂ©ponses correctes Ă  CodyCross Cirque. 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Cette belle innocence, il l'avait perdu Ă  jamais, Ă  quoi bon voir croire le monde parfait quand on ne peut plus le parcourir qu'en boitant? Lui mĂȘme Ă©tait devenue un gros dĂ©faut, un poids mort, une tare du monde. Il avait en quelques sorte rejoins les mangemorts hors de l'utopie. A l'Ă©vocation de "Morrigan" le garçon fronça les sourcils. Nous y voilĂ , les phĂ©nix viennent sur les ruines du champ de bataille en apprendre plus sur l’ennemie. Et puis aprĂšs tout quelle importance? Bien que j'aime de moins en moins les doubles identitĂ©s madame, croassa il, je vais faire une exception pour vous. Vous devez venir de loin, la biensĂ©ance voudrait que je ne vous chasse pas tout de tenta de se redresser lĂ©gĂšrement dans son lit, un mouvement un peu trop rapide de son genou lui arracha un vif cri de moi, je l'oubli parfois... et il me le Vous ĂȘtes sacrĂ©ment touchĂ©s J'espĂšre de tout cƓur que vous allez vous remettre de toute cette m*rde. Au fait, jolie canne. Merci beaucoup, il s'agit de la canne de ma famille. Mon pĂšre s'est rendu compte qu'elle me servirait bien plus qu'Ă  lui... Les mĂ©dicomages m'ont assurĂ© que mon genoux resterait raide et brisĂ©, je ne pourrait dĂ©sormais le plier que manuellement et non sans douleur. Mais je vous en pris! Asseyez vous et prenez un fondant, je n'ai pas vraiment d’appĂ©tit. Petite expĂ©rience, les personnes venues uniquement par curiositĂ© dĂ©clineraient l'offre. Dragomir avait toujours l'esprit lĂ©gĂšrement embrouillĂ© mais cette "'Agatha Beggder" semblait intĂ©ressante. Elle n'avait pas sortie les phrase de compassions bidons. Vous ĂȘtes vivant c'est le principal! Avec un peu de chance vous remonterez sur un balai! Sa compassion semblait sincĂšre, si toutefois la sincĂ©ritĂ© existait encore dans ce monde imparfait, sans honneur, que Dragomir commençait Ă  dĂ©couvrir. Laurae SyverellPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinLaurae Syverell, le Ven 18 AoĂ» - 1413 La jeune femme s'attendait Ă  ce que le jeune homme ne soit pas enclin Ă  la recevoir chaleureusement. AprĂšs tout, les PhĂ©nix Ă©taient aussi considĂ©rĂ©s comme des Hors la Loi pour la majoritĂ© des journaux. Le seul journaux qu Ă©vitait les censure Ă©tait celui de l'Étincelle. Mais lĂ  encore beaucoup de personne ne pouvaient pas non plus en avoir une confiance absolue puisque Ă©crit par les phĂ©nix et donc pas forcĂ©ment objectif. Et c'Ă©tait une bonne raison de le croire, mais il fallait savoir que les PhĂ©nix ne rapportaient pas de mensonges. Ils avaient bel et bien des attentions notĂ© dans l'Étincelle. Ce n'Ă©tait pas des paroles en l'air. La preuve la solidaritĂ© Ă©tait marquĂ©. Et la jeune femme, cheffe de l'Ordre risquait sa libertĂ© en venant jusque dans un hĂŽpital. Toutefois, elle savait que la mĂ©fiance du jeune homme Ă©tait lĂ©gitime, et ne chercha aucunement Ă  dĂ©fendre sa double identitĂ©. Cela ne servirait absolument Ă  rien. L'homme Ă©tait capable de faire sa propre opinion du bien et du mal, et entre autre elle n'Ă©tait pas venue faire l'Ă©talage des PhĂ©nix. M. Orton dĂ©cida tout de mĂȘme de discuter avec elle. Surement pour en savoir plus sur sa venu. Les doigts longs de MĂłrrĂ­gan viennent se renfermer sur les feuilles indiquant le traitement et l'Ă©tat du jeune homme. Elle y jeta un rapide coup d’Ɠil tandis qui lui expliquait les origines de la canne. La jeune femme sourit. Il Ă©tait Ă©trange de voir que certaines famille avaient un hĂ©ritage Ă  donner. Certaines la richesse, d'autres des objets. La jeune femme avait grandi dans une famille pauvre, rejetĂ© de la branche principale les Peverell. Elle Ă©tait aussi la descendante d'une des plus sanguinaire vampire que l'Europe ait connu Carmilla. D'ailleurs, son hĂ©ritage c'Ă©tait son nom Ă  elle. Le nom d'un monstre. Un genou brisĂ©... M. Orton avait vraiment l'air de souffrir. Il en garderait des sĂ©quelles toute sa vie. Encore une victime des TĂ©nĂšbres. Le jeune homme proposa Ă  la PhĂ©nix un fondant que la jeune femme accepta. Celui-ci cherchait sans doute Ă  donner un point de chaleur dans leurs discussion et mĂȘme si la jeune femme n'Ă©tait pas repĂ©rĂ© sous ses faux traits, elle avait encore le temps de rester jusqu'Ă  ce qu'on la recherche. Elle s'installa donc au prĂšs du jeune homme en le remerciant de sa bontĂ©. Elle avait quelque chose Ă  lui Monsieur Orton, voilĂ  presque quatre ans maintenant que je souffre au quotidien. Je connais la douleur d'une Ăąme brisĂ©. Pire encore vous ĂȘtes atteint physiquement. Durant mes recherches, j'ai trouvĂ© une maniĂšre de pouvoir calmer la douleur pour qu'elle soit plus supportable. J'espĂ©rais que vous puissiez accepter cette fiole. Bien entendu elle ne guĂ©rira pas votre genou, mais il ne vous ferra plus souffrir. L'Oiseau de Feu plongea sa main gantĂ© dans son dĂ©coltĂ© pour y ressortir la dite fiole argentĂ©. Puis la tendit au jeune homme. Je vous prĂ©viens, ce ne sont pas les doses habituelles issu du premier traitement. Elle n'est pas non plus homologuĂ©, mais elle fonctionne. Une petite gorgĂ©e pas comme ça, on aurait pu croire que la jeune femme demanderais quelques informations en Ă©change. Il n'en Ă©tait rien. Si il voulait parler il Ă©tait libre, sinon il se tairait. Il n'y avait pas de demande, ni d'obligation. Elle espĂ©rait que son regard d'un bleu de glace soit assez expressif dans la sincĂ©ritĂ© de son geste. Elle Ă©tait prĂȘte Ă  lui envoyer rĂ©guliĂšrement quelques fioles. Mais pour ça, il fallait qu'il lui fasse confiance et qu'il accepte la fiole. Dans tout les cas, elle ne voyait pas l’intĂ©rĂȘt qu'elle avait Ă  le tuer au contraire. La jeune femme ne tuerai jamais d'innocents ou Mangemorts se rendant Ă  la justice des Aurors. Elle ne tuerait que pour se dĂ©fendre de quelqu'un, ou dĂ©fendre des civils. Elle posa la fiole sur le ventre du blessĂ© et, friande, reparti sur le fondant. Certaines pĂątisseries avait le don de rĂ©chauffer les cƓurs. Les yeux bleu iceberg fondirent dans les pupilles du blessĂ©. - Je vous demande, Ă  vous et aux autres victimes de cette terrible attaque, d'accepter nos excuses. Les Mangemorts n'auraient jamais du attaquer Poudlard. Nous aurions du empĂȘcher cela. Nous Ă©tions pas prĂȘt. Je vous promet, qu'on vous rendra justice. Oui, certains membre de l'Ordre avaient Ă©tĂ© prĂ©sent lors de la bataille, et avait combattu aux cĂŽtĂ©s des Ă©lĂšves, qu'ils soient sous leurs vĂ©ritables apparences ou sous leurs traits de PhĂ©nix, arrivĂ© en transplanage Ă  l'aide d'un elfe. Malheureusement tous n'Ă©taient pas lĂ . La Cheffe des PhĂ©nix avait Ă©tĂ© capturĂ©e et torturĂ©e par les mages noir. Les PhĂ©nix Ă©taient donc divisĂ©s pour sauver la vie de Bianca, et la protĂ©ger le temps qu'elle se remette de ses blessures, et l'attaque de Poudlard qui est survenue quelques temps aprĂšs, et oĂč il y avait de nombreux civils. Mais maintenant, ils Ă©taient plus fort, l'espoir renaissait. Et les PhĂ©nix allait rendre la douleur au centuple Ă  l'Ordre Noir. Elle espĂ©rait juste que le MinistĂšre ouvrirait enfin les yeux. Il y avait un ennemi commun les Mangemorts. Ils espĂ©raient ne pas a combattre les uns tout en se cachant des autres. Le monde sorcier avaient besoin de leur aide pour traquer les mages noirs. Et ce n'Ă©tait pas en envoyant Ă  Azkaban les PhĂ©nix qu'ils allaient arranger les choses. Au contraire, ils divisaient leurs forces et laissait champ libre aux Mangemorts qui ne se souciaient pas de la vie de la majoritĂ© des personnes existantes sur Terre. Dragomir OrtonPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinDragomir Orton, le Ven 18 AoĂ» - 1953 [LA de Morrigan]La jeune femme examinait la fiche de soin de ses longs doigts fins. Elle avait vraiment l'air de s’inquiĂ©ter pour lui. Cependant, face Ă  sa proposition et sa potion Ă©trange, Dragomir ne pu s’empĂȘcher un tic nerveux. Une potion? Non homologuĂ© et de la part d'une parfaite inconnue? Qui pouvait certifier qu'il ne s'agissait pas d'un moyen discret de l'Ă©liminer envoyĂ© par l'ordre noir?J'espĂšre que vous pardonnerez ma mĂ©fiance madame, dit il prudemment, mais je ne sait presque rien de vous si ce n'est que vous avez une double identitĂ© et ĂȘtes recherchĂ©e. Peut ĂȘtres accepterez vous afin de montrer vos bonnes intentions de jetez un rĂ©vĂ©lasort sur cette fiole?La jeune femme ne paru pas dĂ©contenancĂ©e, leva sa baguette et prononça la formule. Rien ne se produisis. Dragomir se saisi de la fiole en la remerciant. Pardonnez moi, c'Ă©tait plutĂŽt malpoli que de me mĂ©fier d'un garçon ouvrit prudemment la fiole, la senti et avala une petite gorgĂ©e, la moisson Ă©tait forte et sĂšche. ImmĂ©diatement la douleur sourde et omniprĂ©sentee de son genou disparut, ainsi que celle des multiples petites coupures de ses bras, et celle de ses poumons qui avaient du rendre l'eau que ses bourreaux lui avait fait avaler. Dragomir se dĂ©tendit, un mince sourire illumina son visage, sombre depuis trop merci infiniment."Morrigan" regarda le garçon droit dans les yeux. - Je vous demande, Ă  vous et aux autres victimes de cette terrible attaque, d'accepter nos excuses. Les Mangemorts n'auraient jamais du attaquer Poudlard. Nous aurions du empĂȘcher cela. Nous Ă©tions pas prĂȘt. Je vous promet, qu'on vous rendra justice. Vous n'avez pas a vous excuser voyons. Selon les rumeurs certains membres de l'ordre Ă©tait de la bataille. Moi mĂȘme et une ami sommes partis nous cacher dans la voliĂšre. Quand Ă  mon attaque... Vous n'y pouviez pas grand chose. C'est avant tout de ma faute. Dragomir baissa les yeux, songeur. Si je ne m'Ă©tait pas Ă©loignĂ© du chateau, rien de cela ne serait arrivĂ©, et j'aurais toujours... enfin bon. Le garçon rĂ©flĂ©chit alors Ă  la derniĂšre phrase de la jeune vous remercie. Étant donnĂ© son incapacitĂ© totale Ă  gĂ©rer le chaos ambiant, le ministĂšre est dĂ©passĂ©. Vous ĂȘtes peut ĂȘtres les seuls Ă  pouvoir nous rendre justice. Bien que je ne dĂ©sespĂšre pas un jour de me faire justice moi observait la jeune femme avec attention. Ses traits de jeune adulte ne semblait pas marquĂ©s par le combat. Ses yeux Ă©tait d'une puretĂ© bleutĂ©e incroyable. Une foule de d'interrogation se bousculaient dans la tĂȘte du garçon. Quel Ăąge avait elle? Comment en Ă©tait elle arrivĂ©e Ă  un grade de hors la loi? Une seule de ces questions franchit ses entendu dire... que l'ordre du phĂ©nix souhaitait relever les deux mondes humains l'un Ă  l'autre. Est ce vrai? Laurae SyverellPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinLaurae Syverell, le Sam 19 AoĂ» - 1316 Sans rĂ©elle surprise, le jeune homme offrit un visage emplit de mĂ©fiance vers la Syverell. Si celle-ci n'avait pas pris sa potion de la journĂ©e, elle aurait bien dĂ©montrĂ© que c'Ă©tait sans danger. M'enfin. Le visage stoĂŻque, la jeune femme rĂ©cupĂ©ra sa baguette dans l'Ă©tui attachĂ©e Ă  sa ceinture. Nemain Ă©tait d'un bois de CyprĂšs, taillĂ©e Ă  la brute, de la forme d'un fusil miniature. La jeune femme adorait sa baguette qui n'Ă©tait absolument pas la premiĂšre, brisĂ©, et la seconde ayant changer d’allĂ©geance. Celle-ci la comprenait, agissait sans faiblir, puissamment ou finement. Magie blanche ou magie noire, elle dĂ©fendrait son propriĂ©taire jusqu'au bout. cependant, montrer sa baguette Ă  un homme Ă©tait aussi rĂ©vĂ©lĂ© l'identitĂ© de la personne qui se cachait sous le masque. Elle aussi se mĂ©fiait du jeune homme, mais sincĂšrement que pouvait-elle faire afin de prouver sa sincĂ©ritĂ©. La relation de confiance devait s'installer. A contre cƓur, presque, elle utilisa sa baguette sur la potion. Aucune rĂ©ponse, aucun signe de malhonnĂȘtĂ©. Le jeune homme s'excusa. Il ne fallait pas, Ă  sa place aussi la jeune femme qui se cachait sous ses yeux bleus, cette peau blanche et ses cheveux noirs aurait manifestĂ© sa mĂ©fiance. Ni une ni deux, l'appel au calme intĂ©rieur appela le garçon qui bu une gorgĂ© rapidement. Son corps semblait se dĂ©tendre petit Ă  petit, un peu partout. Bien. Il faisait toujours bon de ne rien sentir, d'oublier que l'on a pas mal. De se dire "je me sens bien", enfin. Cependant, il fallait faire attention. MĂȘme si la douleur n'existait plus, la blessure Ă©tait rĂ©elle. Il fallait pas forcer sur le genou, utiliser la canne tout de mĂȘme et garder la jambe raide. La jeune femme se frotta la nuque. Petit tique identitaire aussi. Elle expliqua tout cela au jeune homme. Il ne fallait pas qu'il se blesse encore plus. Il pouvait encore rendre sa vie belle malgrĂ© sa jambe. La souffrance ne l'empĂȘcherai pas de sourire. Plus maintenant. Cela apaisait aussi le coeur de la PhĂ©nix. Elle avait pu aider physiquement un enfant, victime de la folie. Elle espĂ©rait pouvoir en aider d'autre. Rendre Justice. Elle en avait le pouvoir, elle et les autres. Alors elle devait le faire. Mais pour cela, elle avait besoin que les gens comprennent que les PhĂ©nix n'Ă©taient pas des monstres comme le ministĂšre le prĂ©tendait. C'Ă©tait une fausse rumeur, les PhĂ©nix, autrefois des hĂ©ros, Ă©taient devenu des impopulaires, des hors la loi... sous la volontĂ© d"un seul homme corrompu par son ambition. M. Orton semblait se reprocher quelque chose. La jeune femme Ă©tait au courant des infamies qui s'Ă©tait passĂ©. Une jeune alliĂ©e Ă  Poudlard lui avait tout racontĂ©. Une autre Ăąme brisĂ© encore. Pourquoi s'en prendre aux innocents ? Quel Ă©tait le message? Une tyrannie? Aidez nous en tant que serviteurs ou vous mourrez? Perdez votre humanitĂ©, vos Ăąme et mourrez pour devenir des machines a tuer ou garder tout cela et vous mourrez dĂ©finitivement? Que choisir? Le courage n'existait pas dans ce choix. La lĂąchetĂ© non plus. C'Ă©tait les actes qui comptaient. L'un et l'autre pourrait servir a faire le bien. L'une et l'autre pouvait servir le mal. Si on acceptait de se ranger, on pouvait se battre de l'intĂ©rieur, mais on Ă©tai souvent considĂ©rĂ© comme traĂźtre, terroriste. Si on acceptait de mourir, c'Ă©tait la parole qui projetait l'idĂ©ologie. Mais un combattant en moins. Le jeune homme donna son opinion quant au actions du MinistĂšre. DĂ©passĂ© disait-il? Certes, alors pourquoi s'appuyaient-ils pas sur des civils ? Sur l'Ordre? On Ă©tait en guerre. La rĂ©sistance Ă©tait-elle mauvaise? Le MinistĂšre Ă©tait-il corrompu? Collaborait-il avec les Mangemorts? Tant de question. Au fond, la jeune femme savait que la tĂȘte du ministĂšre Ă©tait pourrie. Il fallait la remplacer. Quelqu'en soit le prix. Combien de temps le Ministre Ă©tait-il au pouvoir? Il Ă©tait temps de changer de mĂ©thode. J'ai entendu dire... que l'ordre du phĂ©nix souhaitait relever les deux mondes humains l'un Ă  l'autre. Est ce vrai?La question du blessĂ© sorti la PhĂ©nix de ses pensĂ©es. La question Ă©tait lĂ©gitime. Beaucoup se la posait. Les PhĂ©nix Ă©taient vraiment considĂ©rĂ© comme des gens avec les mĂȘmes opinions? Comme une secte? Elle soupira. DĂ©cidĂ©ment, le MinistĂšre avait bien fait son boulot. La jeune femme rĂ©flĂ©chit Ă  comment rĂ©pondre au jeune homme. - C'est vrai. Il y a bien deux mondes. Mais les deux mondes sont composĂ©s de diffĂ©rents groupes d'individus. Aujourd'hui, le monde magique est en guerre contre lui mĂȘme. C'est une guerre civile qui touche parfois aussi les personne issus de l'autre monde. Crois-tu, pour le moment, qu'on aimerait rĂ©vĂ©ler l'existence de la Magie aux hommes, femmes, enfants qui ne sont pas dotĂ©s de magie ? Qu'elle image leur donnerons-nous? Celui d'un peuple instable. Qui fait la guerre et qui arrive comme un poux dans leurs monde? De quel droit nous ferons ça... De plus, contrairement Ă  eux, nous savons qu'ils existent. Nous les Ă©tudions. Nous avons un point d'avance sur eux. Que penses-tu qu'ils diront, qu'ils croiront lorsqu'ils comprendront qu'une moitiĂ© de cet autre monde vous veux comme serviteur? Que penses-tu qu'ils penseront quand ils seront que nous avons une matiĂšre a l'Ă©cole appelĂ© "Etude des Moldus"? Qui avait vraiment envie de voir tout ça. De se faire Ă©tudier par des gens aux pouvoirs qu'ils ne comprenaient pas. Le monde magique avait Ă©normĂ©ment de siĂšcle d'avance sur eux. Ils Ă©voluaient avec eux. Il ne falaient pas oublier la prĂ©sence de crĂ©atures susceptible de les effrayer encore plus. CrĂ©ature que mĂȘme leurs propre monde ne connaissait pas totalement, crĂ©atures qui n'avaient pas les mĂȘmes droits que les humains dotĂ©s de pouvoirs. Chaque camps aurait une trouille bleue de l'autre. La peur engendre la Haine. Si les humains non-magiques se mettaient Ă  la chasse aux sorciĂšre, il ne fallait pas oublier que leur cachait le fait que certains mages "purs" ou "noirs" avaient fait plusieurs attentats et de nombreux morts. Que penseront-ils quand ils seront que leurs frĂšres, soeurs, maris, femmes, enfants n'Ă©taient pas tuĂ©s dans un accident, mais lors d'un raid contre eux? Que c'Ă©taient des assassinats? Parce qu'ils Ă©taient des..."moldus"?. - Nous aimerons un jour rĂ©vĂ©ler l'existence. Mais pour nous, cela reste encore une Utopie. Nous ne sommes pas encore prĂȘt Ă  nous accepter. J'en ai rĂȘvĂ© gamine. J'en rĂȘve encore. Ce secret date de beaucoup trop longtemps, et le jour ou il Ă©clatera, il y aura une guerre immense. Peut-ĂȘtre suivi par une paix, oui. Mais il y aura une guerre. Ils faut dĂ©jĂ  que notre monde se rassemble afin que nous puissions aider le monde sans magie Ă  nous accepter. Pour le moment, mĂȘme si l'envie est forte, notre monde n'est pas crĂ©dible Ă  une approche pacifique. Mais oui, nous avons beaucoup Ă  apprendre d'eux, comme ils ont beaucoup a apprendre de nous. J'aimerais vraiment pouvoir assister au retrait du secret magique un jour. D'autres PhĂ©nix n'en sont pas encore lĂ . Et je les jeune femme se tut, la mine triste et sombre. Il fallait qu'elle chasse l'Obscurantisme en premier. c'Ă©tait son rĂŽle. Il fallait que le monde magique se rassemble pour chasser les terroristes. C'Ă©tait la seule solution. Chacun, mĂȘme avec une opinion diffĂ©rente du ministĂšre, de l'ordre de feu, des non-sorciers.... chacun d'entre eux devait chasser la peur, l'ombre et le doute. La mort, la souffrance et la tyrannie. Dragomir OrtonPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinDragomir Orton, le Lun 21 AoĂ» - 1158 La "Morrigan" conseillait maintenant au garçon de mĂ©nager son genou, la blessure Ă©tait toujours prĂ©sente et il ne fallait l'oublier. A cela, le français rĂ©pondit d'un hochement de tĂȘte entendu, ses yeux ambres dans le vide. depuis son arrivĂ©e ici, il savait pertinemment que rien ne lui permettrait de courir de nouveau, de marcher convenablement et surtout... de savez ce qui me manquera le plus? A force de parler sa voie s'Ă©tait Ă©clairci mais un poids dans sa gorge la rendait Ă©trange, embuĂ©e d'Ă©motion. Voler sur un balai. VoilĂ  ce qui vs me manquer. J'ai toujours aimĂ© voler, traverser le ciel en fendant l'air, oublier ses problĂšmes terrestre et rejoindre les pus grands rapaces au sommet des cieux. Monter monter toujours et encore jusqu’à cĂŽtoyer les dieux. Pardonnez moi. il se tourna vers la jeune femme avec un sourire ironique. VoilĂ  que je me met Ă  divaguer et Ă  faire de la poĂ©sie. C'est Ă  peu prĂšs tout ce qui vas me rester, la poĂ©sie et les aima particuliĂšrement la rĂ©ponse de la jeune femme Ă  sa question sur le secret magique. dans le chaos total que traverse la sociĂ©tĂ© magique, se rĂ©vĂ©ler aux moldu serait une erreur. mais qui sait? peut ĂȘtre dans quelques annĂ©es, aprĂšs la dĂ©pose des armes, une rĂ©vĂ©lation progressive du monde magique pourrait elle ĂȘtre bĂ©nĂ©fique? Vous avez raison. Avant toutes choses il nous faut cesser cette guerre interne et surtout permettre au mentalitĂ©s de changer. Des centaines de familles sorciĂšres sont toujours attachĂ©es Ă  leur "puretĂ© du sang" sans comprendre que cela les mĂšne Ă  leur extinction. Mon pĂšre Ă©tait de ceux lĂ , la naissance de mon frĂšre cracmol lui Ă  ouvert les yeux. HĂ©las, ma grand mĂšre maternelle est la derniĂšre des McHaydenbloom d’Écosse et reste profondĂ©ment ancrĂ©e dans ces idĂ©es d'un autres temps, elle refuse mĂȘme d'adresser la parole Ă  mon frĂšre. Ce sont ces mentalitĂ©s qu'il faut changer de crainte d'effrayer le peuple regarda fixement les barreaux de son lit. Y aurai t’il un jour un moyen de stopper l'ordre noir? De le rĂ©duire Ă  de simples criminels sans organisation? Il faudrait couper la tĂȘte du serpent. Murmura t'il pour lui mĂȘme. Pris d'un Ă©lan soudain il se tourna vers la jeune m'avez annoncĂ© tout Ă  l'heure que vous n’étiez pas prĂȘts. L'ĂȘtes vous aujourd'hui? Le ministĂšre Ă©tant... ce qu'il est, il ne reste plus que l'ordre de feu pour rĂ©tablir la justice, et si cela n'est pas possible, nous venger tous. Laurae SyverellPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinLaurae Syverell, le Lun 21 AoĂ» - 1304 La jeune femme nota le fait que le jeune homme avait un penchant pour le vol. Elle le comprenait. Le vol Ă©tait quelque chose de fabuleux. Le vent, la visite du royaume des maĂźtres de l'air, les paysages, la hauteur... Jouer avec le vent, il n'y avait rien d'aussi... grisant. M. Orton semblait ne plus croire qu'il volerait. Certes, il ne pouvait plus courir, mais la jeune femme pensait bien qu'il volerait Ă  nouveau. Elle avait une idĂ©e en tĂȘte. Une idĂ©e que peut-ĂȘtre Miss Ertz pourrait aider Ă  entreprendre. Certes, si ce Ă  quoi elle pensait pourrait fonctionner, le jeune homme volera un peu moins vite, mais volerait tout de mĂȘme. Avoir ce vent dans les cheveux. Avoir cette brise caressant ton visage. Cette brise qui parfois se transformaient en lame de glace et le lacĂ©rait. Mais qu'est ce que c'Ă©tait bon ! Elle nota, lĂ , dans un coin de sa tĂȘte. Et se promis d'y revenir plus tard. Pour le moment, c'Ă©tait le temps des malheurs et de la tristes vĂ©ritĂ©s. Ce n'Ă©tait point le temps pour les bonnes nouvelles et les idĂ©es. La jeune femme Ă©couta attentivement le jeune homme. Ce jeune homme qui partageait les idĂ©es. Ce jeune homme qui avait la flamme en lui. Être un PhĂ©nix. Beaucoup de gens pensait qu'Être PhĂ©nix c'Ă©tait de faire partie d'un groupuscule de gars qui Ă©tait lĂ  au bon moment pour se battre. Toujours se battre. Encore se battre. Ils avaient tords. Les PhĂ©nix devaient avoir pleins de visages. Ils devaient se battre, informer, communiquer, Ă©couter apprendre. Chacun sa façon de faire. Parmis les alliĂ©es, il y en avait qui ne se battaient pas, mais qui les aidaient autrement. Qui les aidaient Ă  leur façon, sans que les "gars du groupuscule" leurs disent quoi faire. Sauf pendant les missions. Et lĂ  encore, pour la sĂ©curitĂ©, certains n'Ă©taient pas obligĂ© d'y prendre part. Leurs choix. Une fourmiliĂšre. Ce garçon, la jeune femme voyait qu'il voulait faire changer les choses. Voyait qu'il avait la flamme dans chacune de ses phrases. Lui aussi avait eu un frĂšre. "Cracmol" comme la sociĂ©tĂ© disait. La jeune femme Ă©tait contre ces codes. Moldus, Cracmols... Elle s'Ă©tait promis de ne plus les utiliser. Les cracmols Ă©taient des sorciers, des Ăąmes magiques qui ne pouvaient pas dĂ©velopper leurs potentiels. Était-ce une tare? Non, ils pouvaient innover, penser comme les personnes qui n'Ă©taient pas dotĂ©s de pouvoirs magiques. Et ça, c'Ă©tait formidable et beau. Et puis "Moldu". C'Ă©tait quoi ce mot? Quel en Ă©tait l'Ă©tymologie? C'Ă©tait juste une insulte devenue populaire, et courante. Insulte qui est finalement entrĂ©e, et s'est Ă  cause de ce mot, ils Ă©taient condamnĂ©s Ă  ĂȘtre soit la cible de certains, soit des incapables. Soit des inventeurs. La jeune femmes prĂ©fĂ©rait ce derniers mots. Les Inventeurs. Les Innovateurs. Non pas des "moldus". L'Ordre noir n'Ă©tait qu'une victime de la sociĂ©tĂ©. L'Ordre noir, malgrĂ© leurs membres souvent raffinĂ©s et riches de purs, Ă©taient parfois aussi intolĂ©rants que des serfs du bas moyen-Ăąge. Ceux qui ne savaient pas lire, Ă©crire, et croyaient en des petits contes pour enfants et des histoires effrayantes. Le mĂ©chant Loup. Des vampires qui se transformaient en chauves souris... Pourtant, la cheffe de l'Ordre de Feu, en face du jeune homme avait fait l'Ă©cole buissonniĂšre. Elle avait appris de la nature, des rixes, des images et des souvenirs. Des Histoires de vieux non-sorciers qui vivaient dans sont petit village de pĂȘcheur. Elle a vĂ©cu pauvre et sans magie. Pourquoi sans magie, alors qu'elle avait des parents sorciers? Des arriĂšres grands parents non magiques ou qui ne pouvaient dĂ©velopper leurs potentiel? Parce que la magie c'Ă©tait la facilitĂ©. La magie ne rendaient pas les gens dĂ©brouillards. Et parce qu'ainsi, son frĂšre jumeau avait pu vivre comme un Inventeur sans que la famille puisse le traiter de tare. Évoluant avec lui. DĂ©couvrant avec lui, apprenti pĂȘcheur la duretĂ© du travail de marin. Et le rĂ©confort dans les pubs. Oui, lĂ  bas, tu pouvais bien avoir 12 ans ils s'en fichaient. Si tu avais connu le baptĂȘme de l'eau salĂ©, tu Ă©tais un "homme". Tu te forgeais comme un homme. C'Ă©taient peut-ĂȘtre pas des mƓurs idĂ©aux. Mais on ne pouvait pas ĂȘtre parfait. Son frĂšre avait Ă©tĂ© heureux, jusqu'Ă  la fin. Le garçon se retourna vivement vers elle. Les yeux tout feux tout flammes. La jeune femme cru que les flammes pourraient faire renaĂźtre d'autres PhĂ©nix. LĂ©cher les coeurs. Embrasser les idĂ©aux. L'espoir renaissait-il? Vous m'avez annoncĂ© tout Ă  l'heure que vous n’étiez pas prĂȘts. L'ĂȘtes vous aujourd'hui? Le ministĂšre Ă©tant... ce qu'il est, il ne reste plus que l'ordre de feu pour rĂ©tablir la justice, et si cela n'est pas possible, nous venger jeune femme l'observa. Le jeune homme avait une si mauvaise opinion du MinistĂšre? Dans un sens ça se comprenait. Mais le MinistĂšre, tel qu'il Ă©tait, venait que d'un seul homme et non pas du MinistĂšre. AprĂšs tout, quelques siĂšcles en arriĂšre, l'homme le plus influent M. Fudge, ministre de la magie n'avait rien fait. Avait figĂ© le ministĂšre. Aujourd'hui, face Ă  M. Kingsley il est devenu le plus impopulaire. Car ce dernier avait innover, avait fait du MinistĂšre une merveille active. - Nous sommes prĂȘt, que si les gens sont prĂȘts. Nous ne pouvons nous battre que si les gens veulent changer les autres. Que si les gens sont capables de comprendre que la vision qu'ils ont des PhĂ©nix sont faussĂ©s. Certes, nous avons fait des erreurs. Mais une part de lumiĂšre Ă  toujours une petite part d'ombre malheureusement. Nous sommes lĂ . Nous le montrons. Nous sommes prĂȘts. Nous sommes les boucliers et les armes du peuple. C'est Ă  lui de nous donner le feu vert. A lui de dire "STOP On en peut plus". A eux de dire que leurs champions sont les PhĂ©nix, et plus le Ministre de la Magie. Mais si on nous donne le feu vert. Je promet que l'on vous vengera. Qu'on rĂ©tablira la Justice. La vraie. La PhĂ©nix avait fixĂ© le regard du jeune homme. C'Ă©tait pas une promesse. Mais un serment. Un serment fait Ă  un seigneur le peuple magique. C'Ă©taient eux les vĂ©ritables seigneurs, pas le ministĂšre. C'Ă©taient Ă  eux de choisir. Le pouvoir Ă©tait entre leurs mains. Et le pouvoir, c'Ă©tait les Oiseaux de Feu. Dragomir OrtonPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinDragomir Orton, le Jeu 24 AoĂ» - 1520 La rĂ©ponse de la jeune femme Ă©claira un peu plus l'image que Dragomir se faisait des phĂ©nix. Il n'Ă©tait pas simplement des combattants vengeurs, ils Ă©taient les combattants du peuple. ce n'Ă©tait pas un combat Ă©goĂŻste et cela Dragomir l'admirait. Dans tout les sens du termes, les oiseaux de feu faisaient don de leur vie et n’attendaient rien en retour. La "Morrigan" avait raison, c'Ă©tait au peuple de se lever, les phĂ©nix ne faisaient que sonner le cor d'alarme. Quelque chose s'enflamma dans le ventre de Dragomir. Comme une douce chaleur, la dĂ©termination. Il regarda les beau yeux de glace de la jeune femme. A quoi servait t'il? Boiteux, faible et incompĂ©tent. Sa place serait dure Ă  trouver. Pourquoi ne pas choisir une place risquĂ©e mais noble? Lui qui avait frĂŽlĂ© la mort il n'avait plus vraiment peur d'elle. S'il disparaissait le monde tournerait tout de mĂȘme. Dragomir se redressa et vais peut ĂȘtre vous paraitre ridicule... Mais si je peut, mĂȘme de la maniĂšre la plus infime possible, vous aider dans votre lutte de chaque jours... Ce combat est devenu le mien sans que je le demande, mais maintenant je me sent prĂȘt Ă  le rejoindre. Le garçon dĂ©tourna les yeux honteux. Pardonnez moi. Je me suis enflammĂ©. Pourquoi voudriez vous d'un infirme incompĂ©tent? Laurae SyverellPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinLaurae Syverell, le Mer 20 Sep - 044 Sorry pour le temps de rĂ©ponse ! J'ai eu du mal Ă  me soigner / Maintenant, c'est reparti !L'Ă©tudiant semblait reprendre des couleurs. Comme si il reprenait goĂ»t Ă  la vie, reprenait espoir. Cela rĂ©chauffait le cƓur de la PhĂ©nix qui n'avait en tĂȘte que de rallumer la fiĂšvre de vivre dans l'esprit et le cƓur de chaque individu. Il y avait encore quelques annĂ©es, elle aurait Ă©tĂ© incapable de croire qu'elle aussi, finalement, avait le droit de vivre une nouvelle vie. De recommencer, de renaĂźtre de cendres encore fumantes. Pourtant, la jeune femme qui se tenait devant le garçon aujourd'hui, qui portait ces mots plein d'espoir revenait de trĂšs loin. Des plus obscures tentation. Elle s'Ă©tait comblĂ©e dans la crasse et la boue. Se disant indigne de poursuivre une vie. Insultant celle-ci des maux qu'elle donnait. Mais finalement, au fur et Ă  mesure, elle comprit que c'Ă©tait les hommes qui rendaient la vie si difficile. Que c'Ă©taient certains d'entre eux les coupables, et qui fallait se battre pour que ceux qui en ont Ă©tĂ©s victimes et ceux qui ne l'Ă©taient pas encore puisse ĂȘtre vengĂ©s, ou puisse avoir un bouclier contre toute cette violence, haine... noirceur. Le garçon semblait se redresser rapidement sur son lit d'hĂŽpital. Comme pour se prouver que lui aussi mĂ©ritait une vie aussi formidable que dans ses rĂȘves. Et il avait raison. MĂȘme si c'Ă©tat jamais tout a fait la mĂȘme chose que les rĂȘves, ceux-ci pouvaient ĂȘtre approchĂ©s avec justesse. La jeune femme entendit la voix d'une flamme, d'un garçon fier de faire don de ce qu'il pouvait pour honorer la cause des PhĂ©nix. Pourtant, il savait bien que Morrigan ne lui avait pas demandĂ© une telle chose. Il l'avait fait de lui mĂȘme. Reconnaissant le tord du monde. Prenant conscience de la vĂ©ritable identitĂ© que d'ĂȘtre un PhĂ©nix. Être un PhĂ©nix n'Ă©taient pas seulement ceux qui se battaient, se cachaient et Ă©taient recherchĂ©s. C'Ă©taient aussi les autres, ceux qui aidaient, ce qui croyaient, ce qui voulaient un monde plus juste, plus conforme, plus lumineux. En paix. - Vous avez raison, je n'ai pas besoin d'un infirme jeune femme plongea son regard dans celui du jeune homme. Ses iris bleus iceberg semblait le scruter au plus profond de lui, transperçant ce cƓur noirci pour le rendre plus rouge, plus battant. Plus fort. Qu'est ce qu'un infirme? Qu'est ce qu'un incompĂ©tent? Qu'est ce qu'un valide? Un expĂ©rimentĂ©? Ils avaient tous quelques chose en commun. Tous, et c'est de ça dont la Morrigan et l'Ordre du PhĂ©nix avait besoin. Au delĂ  de toute "capacitĂ©s", au delĂ  de tout "physique". Combattant, pas combattant... Etudiant, J'ai simplement besoin d'une personne croyant que nous pouvons changer les choses. Et qui le dĂ©sire de tout son cƓur. Et vous faites parti de ces personnes M. Orton. Le regard se fit plus doux, plus chaleureux. La PhĂ©nix esquissa un sourire. Elle se refusait de mettre des Ă©tiquettes sur des personnes. Cela ne faisait aucunement leur identitĂ©. Ce qu'il Ă©tait. Un infirme n'Ă©tait pas qu'un infirme. C'Ă©tait une personne dotĂ© d'une conscience, capable de comprendre, de voir, se sentir, de rechercher. C'Ă©tait avant tout un humain. Avant, la Morrigan n'Ă©tait qu'un chien lancĂ© dans une arĂšne, qui se battait et se battait encore pour survivre. Ses seuls moments de paix Ă©taient de penser Ă  sa libĂ©ration la mort dans un autre de ses interminables combats. Maintenant, elle avait pris le goĂ»t de vivre, de la libertĂ©. Avait laissĂ© l'arĂšne derriĂšre elle, la violence, et la noirceur... et se battait contre. Par tout les moyens. Au nom de la libertĂ©, et d'un monde meilleur, un autre monde que celui proposĂ© par la haine et la violence, la paix plutĂŽt que la mort. - Au fait, tenez. Utilisez les aux Halles et demandez un BTT. C'est un balais tout terrain ayant un guidon et une selle. Vous pourriez poser vos jambes tranquillement vers l'avant. Comme une Harley Davidson. Ce sera plus lent qu'un balais basique mais... vous pourriez Ă  nouveau voler. Si il en ont plus, ils peuvent en crĂ©er un sur mesure grĂące a leur atelier. Demandez Crystal M. Ertz et dites lui que vous venez de la part d'un "corbeau voluptueux". La jeune femme sorti de sa poche quelques galion dont un galion d'urgence qu'il pourrait utiliser en cas de problĂšme et les tendit au blessĂ©. Du mouvement se fit entendre dans le couloir. Des portes Ă©taient ouvertes, le corps mĂ©dical semblaient chercher quelque chose... ou quelqu'un. La jeune femme lança un dernier sourire au garçon. Et disparu dans le couloir, en direction inverse du brouhaha. Direction sortie de secours afin de transplaner Ă  l'extĂ©rieur. Dragomir OrtonPoufsouffle Re [Ste-Mangouste] Salles de soinDragomir Orton, le Mer 20 Sep - 1302 Dragomir reçut une gifle en plein visage. Bien sur que non, elle n'avait pas besoin d'un infirme incompĂ©tent. Au fond de lui il s'Ă©tait abrogĂ© un infime espoir qu'elle le contredise, qu'elle lui annonce qu'il aurait son utilitĂ© et que c'est pour cela qu'elle Ă©tait venue. Mais Ă  quoi bon se leurrer? Soudain le ton changea, elle plongea ses yeux de glace dans ceux du garçon. Dragomir les trouvait magnifiques et lĂ©gĂšrement envoutants. Chaque iris Ă©tait comme une perle d’aigue-marine avec en son centre un onyx sombre. La passion pour la joaillerie du français n'en Ă©tait qu'accrue. Bon nombre de personne avaient de beaux yeux et de beaux bijoux. Mais avoir des yeux rendant terne n'importe quelle pierre Ă©tait un don fait par la nature, un Ă©merveillement. Perdu dans le poĂšme de ses iris, Dragomir entendu sa voie, J'ai simplement besoin d'une personne croyant que nous pouvons changer les choses. Et qui le dĂ©sire de tout son cƓur. Et vous faites parti de ces personnes M. Orton. Dragomir venait de saisir la nuance. Elle n'avait pas besoin de l'infirme, elle avait besoin de l'Ăąme qu'il retenait prisonnier. Des larmes de joies lui Ă©chappĂšrent. il pris les galions d'un main tremblante et hocha fĂ©brilement la tĂȘte Ă  l'Ă©vocation d'un balai adaptĂ©. -Merci... Merci sourire et la dĂ©esse s'enfuit, comme un doux rĂȘve. Un guĂ©risseur entra, en est elle?!-Qui donc? Dragomir tentait tant bien que mal de masquer son repartit en jurant. Le français Ă©clata de rire. Soudain la poignĂ©e de galion se fit chaude. Il la tria et trouva une piĂšce brulante. Dessus Ă©tait Ă©crit en lettre de feu. Bonne chanceDes larmes dans les yeux, un papillon dans le cƓur, Dragomir embrassa la piĂšce avait une raison de du RP, un gros merci Ă  Laulau, suite Josephine CampbellGryffondor Re [Ste-Mangouste] Salles de soinJosephine Campbell, le Jeu 1 Mar - 2107 PV LouisLA de Lala-ChatEllana les avait fait transplanter jusqu’à St Mangouste juste aprĂšs avoir retirĂ© la lame encore plantĂ©e dans la chaire de Louis. Jo avait dĂ» mettre ses mains dessus pour Ă©viter que le peu de sang qui lui restait ne s’échappe. Ils avaient atterri dans le hall de l’hĂŽpital oĂč des medicomages avaient pris en charge le jeune homme Ă  genoux sur le sol, avec son drap plein de sang comme seul vĂȘtement Jo avait lĂąchĂ© Ă  Ellana la voix encore chargĂ©e de sanglots - Je veux que tu ne l’avait pas regardĂ©. Elle ne pouvait pas. Elle Ă©tait bien trop blessĂ©e pour cela. Le sentiment de trahison Ă©tait quelque chose de nouveau pour elle et ça lui transperçait le cƓur. Jamais elle n’aurait plus pensĂ© que sa petite sƓur puisse lui faire autant de mal. Jamais. Elle avait fermĂ© les yeux, priant pour qu’elle fasse ce qu’elle lui demandait sans tenter de chercher une excuse ou donner une quelconque explication. Car il n’y avait rien que Jo aurait pu entendre. Absolument rien. Ellana connaissait son attachement pour Louis. Elle le savait...Elle rouvrit les yeux lorsqu’elle entendit le CRAC caractĂ©ristique du transplanage. Ellana Ă©tait ne voulaient pas qu’elle entre dans la piĂšce oĂč Louis avait Ă©tĂ© conduit. Ils ne voulaient pas non plus lui dire comment il allait. On lui avait demandĂ© comment cela Ă©tait arrivĂ©. Elle avait rĂ©pondu qu’elle ne savait pas, cherchant sĂ»rement encore Ă  protĂ©ger la personne qui venait de lui faire du mal comme personne ne l'avait fait auparavant. Malheureusement, la rĂ©ponse ne convenait pas et elle avait bien remarquĂ© les regards suspects qu’on lui lançait. Ils allaient peut-ĂȘtre appeler les Aurors.. Mais pour le moment, elle s’en fichait. Tout ce qui importait, c’était Louis. Une gentille dame avait donnĂ© Ă  Jo des vĂȘtements destinĂ©s normalement aux soignants et l’avait aidĂ©e Ă  se dĂ©barrasser du sang qu’elle avait sur elle et depuis elle attendait, attendait, attendait. Cela faisait des heures que Jo attendait dans le couloir. Elle Ă©tait assise par terre contre le mur, les jambes repliĂ©es vers elle, face Ă  la porte de la chambre oĂč tout se jouait, rongĂ©e par la peur et l'angoisse. Des gens rentraient, des gens sortaient. À chaque fois, Jo se levait, espĂ©rant qu’on veuille bien lui dire ce qu’il se passait, s’il Ă©tait vivant, s’il Ă©tait mort. Et Ă  chaque fois, ses questions restaient sans puis, alors qu’elle n’y croyait plus, la gentille dame vint la voir et l’autorisa Ă  entrer. Il n’y avait plus personne Ă  l’intĂ©rieur. Il n’y avait plus que Louis, allongĂ© sur un lit, un bandage entourant sa poitrine et son bras. La piĂšce Ă©tait lĂ©gĂšrement Ă©clairĂ©e, il n’y avait pas un bruit. Jo se tourna alors vers la dame complĂštement paniquĂ©e. Elle n'eut pas le temps de lui poser la question, la dame lui dit tout de suite que le jeune garçon Ă©tait tirĂ© d’affaire. Il avait eu de la chance, s’ils Ă©taient arrivĂ©s quelques minutes plus tard, il ne serait sĂ»rement plus de ce pression retomba d’un coup et Jo Ă©clata en sanglots. Elle s’assit sur une chaise au bord du lit et prit la main de Louis dans les siennes et y dĂ©posa un baiser. Il dormait. Elle pouvait entendre sa respiration. Ses traits Ă©taient dĂ©tendus. Il avait reçu une potion pour dormir. Elle passa une main sur son visage et lui embrassa le front. Elle attendrait lĂ  jusqu'Ă  ce qu'il se rĂ©veille. Elle ne s'endormirait pas... MĂȘme si elle Ă©tait fatiguĂ©e, mĂȘme si la main chaude de Louis la rassurait, mĂȘme si sa respiration rĂ©guliĂšre la berçait, mĂȘme si ses paupiĂšres devenaient de plus en plus lourdes, trĂšs lourdes. Louis VarikSerpentard Re [Ste-Mangouste] Salles de soinLouis Varik, le Ven 2 Mar - 1046 RĂ©cupĂ©rationUn vive douleur sur le flanc, une plaie bĂ©ante, une grimace. Un Ɠil s'ouvre, la vision est floue. Combien de temps cela fait-il? Une minute? Une heure? L’Ɠil se referme...Des pas, des paroles, le sang s’arrĂȘte de couler, la douleur est de nouveau lĂ  contrairement Ă  l'Ă©nergie. Puis arrive le silence... Ce mĂȘme silence qui vous confronte aux mĂ©andres de votre esprit, celui qui vous perd et vous fait oublier le temps qui les rĂȘves... Ceux-ci Ă©taient doux, rĂ©confortants. MalgrĂ© le tumulte des Ă©vĂ©nements prĂ©cĂ©dents, c'Ă©tait la vision du sourire de JosĂ©phine, ses yeux bleus malicieux, son corps nu qui tentait tant bien que mal de s’échapper Ă  la gĂȘne une fois le temps s'Ă©tait perdu, les secondes Ă©taient devenues des heures, ou c'Ă©tait l'inverse? Aucune importance! De la chaleur, enfin... Une main dans la sienne, une peau sensible et une douceur accompagnĂ©e d'un parfum connu... Jo!Les yeux s'ouvrent Ă  nouveau et Louis distingua la silhouette de la belle brune Ă  ses cĂŽtĂ©s, assise sur une chaise, sa main dans la s'Ă©carta, rejoignant comme il le pouvait le cĂŽtĂ© du lit. De son bras valide il entraĂźna sa belle afin qu'elle le fixa Jo, ses yeux rougis par les larmes semblaient Ă©puisĂ©s, elle grimpa sur le lit d’hĂŽpital, prenant soin de ne pas toucher les pansements sur le corps de tĂȘte de la jeune fille vint se poser dans le creux de son Ă©paule, un bras sur son torse et une jambe par dessus son put sentir Ă  nouveau la douceur de sa peau sur la sienne, son odeur rĂ©confortante et le bonheur de l'avoir dans ses bras. D'une vois faible, un doux sourire aux lĂšvres il lui murmura Ă  l'oreille - Tu m'as manquĂ©, merci d'ĂȘtre ici, merci d'ĂȘtre toi...Un long soupir de soulagement,- Tu me raconteras?Sa respiration est calme, elle est lĂ , sur lui... Un nouveau sourire sur les lĂšvres...Les yeux se referment... Josephine CampbellGryffondor Re [Ste-Mangouste] Salles de soinJosephine Campbell, le Ven 2 Mar - 1630 Être dans les bras de Louis Ă©tait le meilleur remĂšde Ă  tous les maux de la terre. Physiquement elle n’avait rien, ou quelques Ă©gratignures, vraiment rien de grave, mais son cƓur Ă©tait Ă©corchĂ© Ă  vif. Elle avait failli le perdre. Quelques heures plus tĂŽt, elle s’était rendu compte qu’elle Ă©tait tombĂ©e tout bonnement amoureuse de lui. La prise de conscience Ă©tait trĂšs rĂ©cente, mais cela faisait combien de temps finalement que cela couvait ? On ne pouvait pas s’attacher Ă  une personne aussi rapidement si ?- Tu m’as manquĂ©, merci d’ĂȘtre ici, merci d’ĂȘtre toi
Elle inspira alors la peau de Louis qui Ă©tait sous son nez. S’il savait. Elle avait cru le perdre et elle s’était sentie perdue dans ce couloir Ă  attendre qu’on veuille bien lui donner des nouvelles. Elle avait bien failli ne plus pouvoir sentir sa chaleur, ni se laisser bercer par sa respiration et ne plus ĂȘtre dans ses bras. Il n’y aurait plus eu de sourire, de tĂȘte ailleurs, de regard mutin, de baiser passionnĂ©, de vĂȘtement pliĂ© sur une chaise
 non il n’y aurait plus eu tout cela. Elle avait eu trĂšs peu l’occasion d’y gouter et pourtant elle y avait pis gout. Elle ne se voyait pas ĂȘtre privĂ©e de cela dĂ©sormais. C’était devenu bien trop important Ă  ses Tu me raconteras ?Elle hocha la tĂȘte en guise de rĂ©ponse. Elle savait qu’elle devrait le faire, mais elle n’en avait pas du tout envie. Elle ne voulait pas revivre tout cela. Elle avait le visage d’Ellana en tĂȘte, le sang
 le dĂ©tachement de sa petite sƓur face Ă  toute cette horreur. La trahison, l’angoisse. Jo n’ajouta rien de plus. Elle Ă©tait tellement Ă  fleur de peau qu’elle s’en sentait releva la tĂȘte lorsqu’elle entendit la respiration de Louis devenir de plus en plus rĂ©guliĂšre. Il s’était endormi. Elle se mit alors sur un coude pour pouvoir le contempler avec plus de facilitĂ©. Elle passait ses doigts sur son visage, en l’effleurant Ă  peine, comme si ce simple geste lui permettait d’enregistrer chaque dĂ©tail, chaque ligne de sa peau. Elle lui remit une mĂšche de cheveux derriĂšre l’oreille et lui embrassa le front, le nez puis fini par les se pencha Ă  son oreille et lui murmura - Ne me quitte plus jamaisPuis elle reposa la tĂȘte dans le creux de son bras et resserra son Ă©treinte. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour s’endormir Ă  son tour et le rejoindre dans les bras de du bĂ©bĂ© RP Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re [Ste-Mangouste] Salles de soinLoredana Wildsmith, le Mar 5 Juin - 2036 Pas de rĂ©ponse depuis plus d'un mois, me mp si pbQuand l'ombre frappeft. Daemon Stebbins - LA d' Elina♫Aviez-vous dĂ©jĂ  vu auparavant une jeune femme de dix-sept ans courir dans la rue, Ă  bout de souffle, se fichant de ce qui pouvait se passer autour d'elle ? Le genre de situation oĂč tu te donnais en spectacle sans le vouloir, parce que quelqu'un courir de la sorte n'est pas le genre de chose qui arrive tous les jours. Elle n'avait appris la nouvelle que le lendemain, trĂšs tĂŽt dans la journĂ©e, par une lettre signĂ©e Elina Peterson qui l'informait de la situation Daemon Ă©tait Ă  Ste Mangouste aprĂšs une agression et elle n'en avait pas su davantage malgrĂ© la panique, elle s'Ă©tait empressĂ©e de se rendre Ă  Londres dĂšs qu'elle en eut l'occasion. Malheureusement, dans la prĂ©cipitation, elle fut incapable de transplaner Ă  l'endroit souhaitĂ© et se trouvait encore Ă  un ou deux kilomĂštres de l'hĂŽpital sorcier de Ste Mangouste. C'Ă©tait la raison pour laquelle elle Ă©tait Ă  bout de souffle tant la fatigue et la panique ne faisait pas bon mĂ©nage dans son corps. Elle sentait que ses jambes pouvaient lĂącher Ă  tout moment, qu'elle pouvait s'effondrer tant elle faisait des efforts pour parvenir Ă  temps Ă  destination. Pourquoi Ă©tait-elle si pressĂ©e ? Est-ce que courir allait arranger l'Ă©tat de Daemon ? Est-ce que ça allait le rendre plus joyeux ? Parce qu'elle se doutait bien qui ne devait pas avoir envie de rire Ă  ce moment-lĂ . Avait-il simplement envie de la voir ?Jamais elle n'aurait pu penser que ce genre de chose lui arriverait. Elle Ă©tait le genre de personne Ă  penser que cela n'arrivait qu'aux autres, qu'elle Ă©tait en sĂ©curitĂ© et qu'ils parviendraient toujours Ă  se sortir du pĂ©trin ensemble. À force de le voir comme la huitiĂšme merveille du monde, elle s'Ă©tait créée inconsciemment un monde utopique, fermĂ© Ă  clĂ© oĂč personne d'autre qu'eux ne pouvait pĂ©nĂ©trer. Il fallait qu'elle se rĂ©veille, la rĂ©alitĂ© Ă©tait tout autre et elle s'en rendrait compte bien assez tĂŽt, lorsqu'elle sera lĂąchĂ©e dans la nature, sans Poudlard pour la protĂ©ger. Elle entendait les moldus tentaient de lui demander ce qu'elle avait, ce qui se passait. Peut-ĂȘtre pensaient-ils qu'elle Ă©tait poursuivi par un voleur ou mĂȘme un psychopathe. Ils ne savaient pas aprĂšs tout, qu'il n'Ă©tait pas bien compliquĂ© pour elle de s'en dĂ©barrasser. Ou peut-ĂȘtre que si, elle n'en savait rien, mais elle s'en fichait complĂštement Ă  ce moment, tout ce qu'elle voulait, c'Ă©tait s'assurer qu'il aille bien, qu'il se souvienne de tout, qu'il soit conscient et qu'il ne soit pas trop blessĂ© surtout...AprĂšs des minutes qui lui semblaient ĂȘtre des heures, elle se trouvait enfin dans le hall de l'hĂŽpital, elle courut Ă  l'accueil demander l'Ă©tage et le numĂ©ro de la chambre. Elle n'Ă©tait pas polie, ne dit ni Bonjour, ni s'il vous plait, ni merci, elle voulait simplement qu'on lui donne les rĂ©ponses qu'elle souhaitait. Sans plus attendre, elle se dirigea toujours d'un pas prĂ©cipitĂ© vers la chambre oĂč se trouvait son petit-ami. La panique Ă©tait telle qu'elle ne se sentait mĂȘme pas essoufflĂ©e. Elle se fichait de son Ă©tat Ă  frappa doucement, mais n'attendit pas la rĂ©ponse avant d'ouvrir la porte avec une grande apprĂ©hension. Sa main tremblait sur la poignet et elle respirait un bon coup avant de lever les yeux vers lui. Son cƓur s'arrĂȘta de battre un instant. Qu'est-ce qu'on lui avait fait ? Elle essayait d'ouvrir la bouche pour parler, mais aucun son ne sortait. Elle Ă©tait pĂ©trifiĂ©e, le voir comme ça Ă©tait presque au-dessus de ses forces. Elle tenait Ă  lui plus qu'Ă  sa propre vie Ă  elle, comment accepter ce genre de vision digne d'un film dramatique oĂč les personnages principaux sont victimes de tous les malheurs possibles et s'avança malgrĂ© tout, ne voulant pas rester figĂ©e Ă  le regarder comme s'il Ă©tait un animal en cage. Elle s'installa prĂšs de lui, prenant l'une de ses mains dans les siennes d'un geste dĂ©licat. Elle voulait qu'il sache qu'elle Ă©tait lĂ , qu'il n'Ă©tait pas seul. Est-ce que cela Ă©tait suffisant ? Peut-ĂȘtre bien que non mais elle ne voulait plus aller nul-part dĂ©sormais. Elle voulait rester lĂ  jusqu'Ă  sa sortie, parce qu'elle aurait l'impression de l'abandonner Ă  chaque fois qu'elle le quitterait. Elle luttait pour ne pas pleurer, ça aurait Ă©tĂ© bien Ă©goĂŻste de sa part. Il fallait qu'elle soit forte pour lui, pour l'aider Ă  se mains tremblaient encore, il devait probablement le sentir mĂȘme s'il Ă©tait actuellement endormi. Elle ouvrit la bouche et la seule chose qu'elle parvint Ă  lui dire fut un Je t'aime », un murmure, ne pouvant parler plus fort tant elle se sentait faible en le voyant dans cet Ă©tat. L'arcade ouverte et de nombreux hĂ©matomes sur les parties de son corps qu'elle pouvait voir. Elle tentait d'imaginer l'horreur qu'il avait vĂ©cu, mais elle se doutait que quoiqu'elle puisse penser, c'Ă©tait sans doute bien pire... Daemon StebbinsGryffondor Re [Ste-Mangouste] Salles de soinDaemon Stebbins, le Mar 5 Juin - 2245 Quand l'ombre frappe...Loredana Sparks Daemon Stebbins“MĂȘme quand la blessure guĂ©rit, la cicatrice demeure.” - ♫♫♫ La douleur. J'avais l'impression qu'elle Ă©tait endormie et pourtant j'avais la sensation qu'elle Ă©tait proche si je me rĂ©veillais. Je voyais des images d'un corps malmenĂ©. J'Ă©tais spectateur d'un ĂȘtre masquĂ© frappant un autre Ă  terre avec une violence magique que je n'aurais jamais pu concevoir. Je ne rĂ©alisais pas que c'Ă©tait moi. Ma conscience Ă©tait dĂ©tachĂ©e de mon ĂȘtre physique. Un moyen de cloisonner l'insoutenable Ă©preuve que je venais de passer mĂȘme si je n'en avais pas conscience. J'avais l'impression de flotter, de me mouvoir presque Ă  la surface sans vraiment l'atteindre. Parce que j'Ă©tais paralysĂ©. Une peur se distillait encore dans mes veines. Un sentiment de danger qui me disait de rester cacher ainsi. Que quelqu'un me voulait du mal et que lĂ  j'Ă©tais Ă  l’abri. Bien sĂ»r, j'avais entendu plus d'une voix qui m'avaient appelĂ© pour m'appeler mĂȘme si elles m'Ă©taient complĂštement inconnues. J'avais perçu des mains, des rĂ©actions Ă©tranges de mon m'avait ensuite dĂ©placĂ©, tournĂ© encore et encore. On m'avait placĂ© sur le ventre. Une brĂ»lure intense s'Ă©tait fait ressentir sur mon dos. Je me sentais toujours cotonneux. Ma tĂȘte Ă©tait envahie par un groupe de hard rock qui avait Ă©lu domicile dans mon cerveau et jouait Ă  s'en dĂ©chirer les membres et Ă  se casser les cordes vocales. Ce qui provoquait une envie de vomir brutale. Pourtant rien ne se ne savais pas combien de temps, j’étais restĂ© ainsi. J'avais perçu diverses prĂ©sences et entendu diverses voix durant cet Ă©tat. Puis Ă  nouveau le silence. De nouveaux des flashs se faisaient dans ma tĂȘte. J'Ă©tais toujours autant dĂ©tachĂ©. Combien de temps encore ? Combien encore j'allais rester Ă©tranger dans mon propre corps. Je sentais qu'on me prenait la main. J'entendais qui Ă©tait en train de faire battre plus fort mon cƓur. Je ne les avais pas vraiment distinguĂ©s pourtant j'Ă©tais certain qu'ils Ă©taient primordiaux. J'avais envie de remonter...J'ouvrais une seconde les yeux. Tout Ă©tait flou. Je voyais quelqu'un penchait sur moi. Je clignais plusieurs fois des paupiĂšres. La mise au point se faisait lentement. - OĂč je suis ?Brusquement la douleur se rĂ©veillait dans tout mon ĂȘtre. J'avais la sensation de mourir. Je poussais un grognement. Je ne savais pas qui Ă©tait lĂ . Pourtant la chaleur de l'autre corps combattait celle de la souffrance. Mes yeux se refermaient Ă  nouveau. Je tentais d'Ă©touffer le mal que j'Ă©prouvais. Mais ce n'Ă©tait pas une rĂ©ussite. Mon corps... J'avais l'impression que des milliers d'aiguilles me transperçaient Ă  la fois...Ma main se crispait sur des doigts que je connaissais. Cependant j'Ă©tais incapable d'associer un nom parce que j'Ă©tais submergĂ© et que mon esprit ne parvenait pas Ă  bruit de porte... Des gens rentraient rapidement et on s'occupait de mon corps crispĂ©...Code Daemon Loredana WildsmithMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Ste-MangousteLoredana Wildsmith, le Mar 5 Juin - 2334 Elle ne lui lĂąchait pas la main une seule seconde, voulant qu'il se rende compte de sa prĂ©sence. Elle faisait tout de mĂȘme en sorte de ne pas trop la serrer, ne sachant pas rĂ©ellement quelles parties de son corps Ă©taient douloureuses et lesquelles ne l'Ă©taient pas. Elle l'observait, l'air inquiet, elle sentait que ses mains Ă©taient froides Ă  cause de la peur qui ne la quittait pas depuis qu'elle avait appris la nouvelle. Elle aurait tant aimĂ© enfreindre les rĂšgles et aller le chercher ce soir-lĂ , elle se sentait coupable de n'avoir rien pu faire. Elle devait probablement dormir sur ses deux oreilles au moment de l'agression. Non. Il ne fallait pas qu'elle s'accuse et qu'elle se laisse abattre. Il fallait qu'elle reste forte... pour ouvrait difficilement les yeux et Loredana voyait bien qu'il avait du mal Ă  distinguer les formes. Elle eut l'impression qu'il ne la reconnaissait pas. Était-il amnĂ©sique ? Elle n'en savait rien. Quoiqu'il en soit, elle resterait lĂ  mĂȘme s'il ne savait plus qui elle Ă©tait. Elle savait qu'au fond de lui, il s'en rappellerait. Ils Ă©taient coordonnĂ©s, deux aimants incapables de fonctionner l'un sans l'autre. DĂ©s le dĂ©part, ils avaient eu cette connexion, cette sensation de n'ĂȘtre bien que lorsqu'ils se retrouvaient tous les deux. Elle ne pouvait pas croire qu'elle resterait une inconnue pour lui, pas aprĂšs tout ce qu'ils avaient Tu es Ă  Ste Mangouste, mon amour, Ă  l'hĂŽpital. Tu vas aller mieux, je te le voix tremblait, elle ne pouvait s'en empĂȘcher. Elle essayait d'ĂȘtre rassurante, mais le voir dans ce lit d'hĂŽpital Ă©tait bien plus difficile qu'elle ne l'aurait cru. Il avait mal, elle le voyait dans ses yeux, elle entendait ses grognements de douleur. Pire, elle avait l'impression de sentir sa douleur. Elle souffrait en mĂȘme temps que lui, mĂȘme si elle se doutait que pour lui, la douleur Ă©tait bien plus intense. Les doigts du sorcier serraient les siens et elle se contentait de caresser dĂ©licatement sa main. quelques MĂ©dicomages firent leur entrĂ©s dans la chambre et commencĂšrent Ă  s'occuper de lui. Loredana grimaçait, se rendant bien compte que ce genre de geste faisait souffrir y a....des blessures graves ?L'un d'eux lui expliqua les blessures, mais n'entra pas davantage dans les dĂ©tails. Peut-ĂȘtre voulait-il que Daemon le lui dise lui-mĂȘme. Il avait donc plusieurs hĂ©matomes, des cĂŽtes cassĂ©s, probablement la cause de sa douleur actuelle, l'arcade ouverte et Ă©galement le dos, il avait perdu beaucoup de sang. À entendre cela, Loredana avait du mal Ă  garder son calme et voulait poser pleins de questions, comme elle avait l'habitude de le faire. Cependant, elle prĂ©fĂ©ra se retenir, les laissant s'occuper de Daemon, l'obligeant Ă  rompre le peu de contact qu'elle avait avec lui. Elle les regardait faire en restant sur ses gardes, comme si elle avait peur qu'ils aggravent la chose. Remarquant son inquiĂ©tude, un autre mĂ©dicomage lui demanda si elle Ă©tait de sa famille. Encore une fois, elle s'embrouillait dans ses paroles et sa voix Ă©tait toujours aussi Enfin non... On est ensemble quoi...Elle mit ses mains sur son visage, comme si la situation la dĂ©passait. Elle n'aimait pas le voir avoir mal de la sorte. Elle aurait voulu lui prendre sa douleur, prendre sa place, qu'il aille bien. Mais si cela avait Ă©tĂ© possible, il aurait probablement refusĂ©. Une fois qu'ils eut terminĂ© avec lui, les MĂ©dicomages les laissĂšrent seuls de nouveau, prĂ©cisant Ă  Loredana qu'il avait tout de mĂȘme besoin de repos et qu'elle ne devrait pas rester longtemps. Elle avait acquiescĂ©, tout en sachant pertinemment qu'elle ne les Ă©couterait avait repris sa place initiale, la main de Daemon de nouveau dans les siennes. Cette fois-ci, elle pencha la tĂȘte et y dĂ©posa un baiser. Elle luttait encore et toujours pour retenir ses larmes et ne pas se sentir coupable, en Je prĂ©fĂ©rerais que ce soit moi plutĂŽt que toi, avait-elle chuchotĂ©, ignorant s'il avait entendu ou non ses paroles. Daemon StebbinsGryffondor Re [Ste-Mangouste] Salles de soinDaemon Stebbins, le Sam 9 Juin - 1924 Quand l'ombre frappe...Loredana Sparks Daemon Stebbins“MĂȘme quand la blessure guĂ©rit, la cicatrice demeure.” - ♫♫♫ Sainte Mangouste ? Puis des flashes s'invitaient dans mon esprit. Je voyais ma sortie de chez Barjow et Beurk. Puis il y avait eu cette sensation d'ĂȘtre Ă©piĂ© alors que je rentrais Ă  Poudlard. Alors que je commençais Ă  me souvenir, la douleur me rattrapait Ă  nouveau. Je tentais de contenir ma rĂ©action parce que je ne dĂ©sirais pas plus inquiĂ©ter ma petite amie qui l'Ă©tait dĂ©jĂ  suffisamment. MĂȘme si je n'Ă©tais pas en Ă©tat de rĂ©flĂ©chir un pourquoi hantait mon esprit. Avais-je Ă©tĂ© dĂ©couvert ? Non ma cleptomane ne l'aurait pas permis. Ou alors je me trompais sur le compte de MhhhJ'avais tentĂ© de bouger pour diminuer la pression. TrĂšs mauvaise idĂ©e. Une onde Ă©lectrique parcourait la totalitĂ© de mon corps de la pointe des pieds jusqu'Ă  la racine de mes cheveux. La grimace, cette fois, Ă©tait visible. Sa voix avait Ă©tĂ© tremblante et j'Ă©tais en colĂšre qu'elle me voit de la sorte. Parce que je ne voulais pas lui montrer ce genre d'image. Non parce que j'avais peur d'ĂȘtre faible devant elle. Mais parce que je ne supportais pas de voir son regard si triste par ma Mes parents ?Puis les mĂ©dicomages arrivĂšrent pour m'osculter. L'un d'entre eux lui donnait quelques dĂ©tails. Mais j'Ă©tais heureux qu'il ne rĂ©vĂšle pas tout. Je prĂ©fĂ©rais la mĂ©nager car la connaissant, je savais qu'elle se culpabiliserait. Je me concentrais toujours pour tenter de garder ma concentration. * Comme vas-tu tenir si Ă  peine en touchant tu grimaces comme un enfant. C'est de cette façon que tu vas la rassurer.*Cela faisait un moment que je n'avais pas entendu ma voix intĂ©rieure. Depuis ce jour Ă  la cabane hurlante lorsque Loredana m'avait obligĂ© Ă  faire face Ă  mes sentiments. Elle avait raison. Mais je devais ĂȘtre rĂ©aliste ce n'Ă©tait pas de petites Ă©gratignures. Un autre flash me traversa le cerveau. Me rappelant l'impression d'ĂȘtre dĂ©coupĂ© en deux en une seconde. Un autre sentiment refaisait aussi. La peur... Elle revenait en vague de plus en plus violente et d'autres flashes... Les coups... La panique...Mon cƓur se mettait Ă  tambouriner dans ma poitrine. Mes mains s'agrippaient au lit. Plus je bougeais plus je souffrais. Et lĂ  les cris ont explosĂ© la barriĂšre de mes lĂšvres. Je n'Ă©tais plus vraiment lĂ , j'Ă©tais prisonnier de mon esprit. Je donnais l'impression d'ĂȘtre un fou Ă©chappĂ© de l'asile. Un mĂ©dicomage avait voulu faire sortir Loredana mais tĂȘtu comme elle l'Ă©tait, elle avait refusĂ©. Puis on m'a donnĂ© un truc qui m'avait fait revenir Ă  la rĂ©alitĂ© de l'instant. J'entendais la voix d'une femme qui me rĂ©pĂ©tait que j'Ă©tais Ă  l'hĂŽpital en sĂ©curitĂ©. Que personne ne viendrait me faire du mal. Mon dos s'Ă©tait rĂ©ouvert et je sentais le liquide chaud et poisseux glissait lentement le long de mon Ă©chine. La peur Ă©tait sur mon visage, incrustĂ© comme un masque de carnaval. Puis l'image de l'ombre avait de nouveau disparu. Le produit faisait effet en quelques calme revenait dans la piĂšce. La crise passait, les mĂ©dicomages s'Ă©taient en allĂ©s. Laissant ma douce et moi seuls. Elle Ă©tait revenue se loger prĂȘt de moi. J'avais honte de moi. Je n'osais pas croiser son regard. Je ne voulais pas voir sa pitiĂ© dans ses prunelles. Le baiser aurait dĂ» m'apaiser mais ce ne fut pas le cas. Il me semblait acide. Certainement mon Ă©tat d’esprit devait jouer dessus. Puis elle avait lĂąchĂ© ses mots. Qui m'avaient provoquĂ© une douleur pire que celle de mes Ne dis plus jamais colĂšre avait Si cela avait Ă©tĂ© toi... Je crois que j'aurai couru Ă  la recherche du coupable...Puis soudain la peur se prĂ©sentait de nouveau en moi. Pourtant je ne voulais pas me laisser submerger...Code Daemon Re [Ste-Mangouste] Salles de soinContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Pixels Vie en ligne De nombreuses communautĂ©s qui font vivre l’univers du sorcier ont condamnĂ© les rĂ©centes publications en ligne de l’autrice de leur saga fĂ©tiche. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Comment ĂȘtre fan d’un univers dont la crĂ©atrice tient des propos contraires aux valeurs de son Ɠuvre ? La question agite les communautĂ©s de fans de Harry Potter ces derniers jours, alors que J. K. Rowling est critiquĂ©e pour ses prises de positions transphobes. L’autrice de la saga, vendue Ă  500 millions d’exemplaires dans le monde, a commentĂ© samedi 6 juin un Ă©ditorial du site qui appelait Ă  crĂ©er un monde post-Covid-19 plus Ă©gal pour les personnes qui ont leurs rĂšgles ». Je suis sĂ»re qu’il y avait un mot pour ces personnes. Aidez-moi. Wumben ? Wimpund ? Woomud ? », a rĂ©agi alors Rowling sur Twitter, faisant mine d’avoir oubliĂ© le mot women femmes ». Sur les rĂ©seaux sociaux, on a alors rappelĂ© Ă  l’autrice que des hommes trans ou des personnes non binaires dont l’identitĂ© de genre ne correspond pas Ă  homme » ou Ă  femme » peuvent Ă©galement avoir leurs rĂšgles, et l’accusent de transphobie. J. K. Rowling a rĂ©pondu par une sĂ©rie de Tweet dans lesquels elle utilise le terme sexe » et non genre », et conditionne le genre d’une personne Ă  ses organes gĂ©nitaux. Le 10 juin, elle s’est ensuite expliquĂ©e plus longuement, directement sur son blog. Elle y Ă©voque les accusations qui sont portĂ©es contre elle, et rĂ©pond notamment au terme de TERF » qui lui est parfois donnĂ© un acronyme pour trans-exclusionary radical feminist, qui dĂ©signe des personnes qui estiment que les luttes trans invisibilisent les luttes pour les droits des femmes. Ces idĂ©es sont trĂšs prĂ©sentes dans le dĂ©bat fĂ©ministe britannique, expliquait Vox en dĂ©cembre 2019. Mais la dĂ©nomination empĂȘche toute possibilitĂ© d’avancer sereinement des arguments, rĂ©pond J. K. Rowling dans son long texte. Lire aussi Harry Potter » a 20 ans la saga en cinq chiffres Condamnations d’acteurs et de fans Le dĂ©bat sur la question n’est pas une premiĂšre pour la crĂ©atrice de la saga Harry Potter. En dĂ©cembre 2019, dĂ©jĂ , l’autrice sortait d’un long silence sur Twitter pour prendre la dĂ©fense de Maya Forstater une chercheuse dont le contrat dans un think tank londonien n’a pas Ă©tĂ© reconduit aprĂšs qu’elle a postĂ© publiquement des messages tels que les hommes ne peuvent pas devenir des femmes ». En 2018, Rowling avait aussi Ă©tĂ© critiquĂ©e pour ses soutiens Ă  des Tweet et Ă  des utilisateurs transphobes, comme le racontait le site d’information LGBT + Komitid. Cette fois, c’est aussi le moment qu’elle a choisi pour ces dĂ©clarations qui a choquĂ© les dĂ©fenseurs de droits LGBT + ils reprochent Ă  J. K. Rowling d’avoir exposĂ© ses points de vue en plein mois des fiertĂ©s, et alors que le mouvement Black Lives Matter en cours met aussi en lumiĂšre la vulnĂ©rabilitĂ© des personnes noires et trans. Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? 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